Les nouveaux atouts des produits d'épargne retraite

Promulguée le 10 novembre, la loi sur les retraites intègre des aménagements pour les différents dispositifs d'épargne retraite. Cela devrait les rendre plus attractifs. Revue de détail.

 Si l'essentiel des débats autour de la réforme des retraites s'est cristallisé autour du régime par répartition et du départ à 62 ans, le gouvernement n'a pas fait totalement l'impasse sur les produits de retraite par capitalisation. Plusieurs articles de la Loi mentionnent ainsi le plan d'épargne retraite collectif (Perco), le plan d'épargne retraite populaire (Perp), ou encore des produits d'assurance retraite comme le plan d'épargne retraite entreprise (Pere), l'article 39 (les fameuses retraites chapeaux) et l'article 83.
Davantage qu'une réforme, il s'agit avant tout d'une simplification de ces produits, afin de les rendre plus souples, et donc plus attractifs (voir illustration pour comprendre les spécificités de chacun). A titre d'exemple, les salariés pourront désormais effectuer des versements volontaires individuels dans tous les produits d'épargne d'entreprise.
Une nécessité compte tenu de la baisse programmée des taux des futures pensions. « Les salariés ont besoin de faire le plein de tous les dispositifs disponibles dans leur entreprise. Cela est d'autant plus important pour les hauts revenus dont les taux de remplacement seront les plus bas », indique Gilles Favier, Responsable Marketing de BNPP Epargne & Retraite Entreprises. Ces dispositifs collectifs et individuels, mis à la disposition des salariés par les entreprises, bénéficient d'une défiscalisation attractive sur les versements, contrairement à l'assurance-vie (lire l'interview).
Baisse des futures pensions
La prise de conscience des salariés en la matière est d'ailleurs assez nette. Le dernier baromètre du « Club de l'épargne salariale » rapporte que 82 % des personnes interrogées considèrent que le montant de leurs pensions ne suffira pas à leur assurer un train de vie confortable une fois à la retraite. L'enquête montre également un décalage important en moyenne entre le revenu anticipé (soit 61 % du dernier salaire perçu avant la retraite) et le revenu jugé nécessaire (84 % du dernier salaire). Pourtant 4 salariés sur 10 n'épargnent pas pour leur retraite, faute de revenu suffisant ou d'un accès à une épargne d'entreprise.
Le pourcentage de salariés qui bénéficient d'un dispositif dédié à la retraite chez leur employeur reste, de fait, très faible. Si l'épargne d'entreprise est fréquente au sein des grosses sociétés, les petites et moyennes entreprises (PME) et les très petites entreprises (TPE) sont très faiblement équipées. Ainsi 2 salariés sur 3 n'ont toujours pas accès à un Perco, un PEE, un article 83 ou encore à un régime à cotisation défini.
Un problème dont le législateur a conscience puisque, désormais, un Perco ou un article 83 devra être mis en place pour tous les salariés dès lors que le chef d'entreprise adhère à une retraite chapeau ! Il y a quelques années, l'ouverture de la participation et de l'intéressement aux mandataires sociaux avait dynamisé la mise en place de PEE et de Perco dans les TPE. Cette réforme aura-t-elle le même impact ? Oui, à condition de s'y retrouver dans le maquis des produits retraite. Nous avons décortiqué les changements introduits par la réforme, et mis en avant les avantages que l'on peut en retirer.
Les 4 principales réformes

1 - Une sortie partielle en capital deviendra possible sur le Perp
Plusieurs aménagements ont été adoptés concernant le Perp (Plan d'épargne retraite populaire), un produit lancé en 2003 lors de la réforme Fillon et qui n'a jamais véritablement rencontré le succès. Ils portent à la fois sur la sortie, et sur l'information dispensée aux épargnants.
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Livrets d’épargne en ligne : Un guide pour mieux choisir

Les livrets au banc d’essai est un site destiné à expliquer aux particuliers comment fonctionnent les livrets d’épargne en ligne. Ces super livrets sont, aujourd’hui, au cœur d’une concurrence agressive que se mènent les banques en ligne. Cela prend généralement la forme de taux promotionnels à l’ouverture du livret en ligne.
Les livrets au banc d’essai est un test comparatif des livrets en ligne grandeur nature. C’est-à-dire que l’équipe rédactionnelle du site a souscrit à ces différents comptes d’épargne en ligne afin de retranscrire au mieux les forces et les faiblesses de chacun des livrets proposés par les banques en ligne.
Depuis la facilité et la rapidité avec lesquelles on peut ouvrir un livret en ligne jusqu’aux qualités ergonomiques de l’interface de gestion de chacun des acteurs testés, nous prenons soin de décrire chaque étape et de les annoter. Il s’agit bien ici de dresser à la fois un tableau comparatif global des livrets en ligne disponibles sur le marché, mais également de créer des guides pour les internautes qui franchissent le pas de l’épargne en ligne.
Au cours de cette première série de livrets testés, retrouvez les descriptions et analyses des Livrets BforBank, Compte Épargne Direct HSBC, Livret + Fortuneo, Livret Épargne Orange ING et du Livret d’épargne monabanq.

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BNP Paribas : du nouveau sur mobile

BNP Paribas annonce être la première banque en France à proposer un accès aux comptes entreprises et professionnels depuis un mobile.

"Cette nouvelle innovation fait partie intégrante du programme accélérateur sur Internet et le mobile que BNP Paribas a lancé, début 2009, afin de devenir le leader de la banque en ligne d'ici 2012", explique le Groupe.

BNP Paribas indique donc être la 1ère banque en France à proposer à sa clientèle Entreprises l'accès gratuit aux comptes depuis un mobile - m.entreprises.bnpparibas.fr

Depuis son téléphone portable, le client peut à présent : consulter ses comptes (courant, titre, épargne et dépôt à terme) ou rechercher des opérations, contacter sa banque et le service d'assistance technique, et accéder directement à une sélection de comptes favoris.

"Désormais, les dirige ants d'entreprises et les trésoriers peuvent suivre en temps réel l'évolution de tous leurs comptes en situation de mobilité", ajoute le Groupe.

Ce site mobile est adapté aux 4 principaux terminaux détenus par les entreprises : Blackberry Bold 9000, iPhone, HTC HD2 (Windows phone), HTC Hero (Android). Cette liste de mobiles a vocation à s'enrichir au fil des mois.

BNP Paribas a également mis en place un site Internet, accessible depuis entreprises.bnpparibas.fr, qui est dédié à la présentation de ce nouveau service d'e-banking.

Le site BNPPARIBAS.NET est également accessible pour les clients professionnels depuis mobile via leur iPhone, Android ou Smartphone - mobile.bnpparibas.net/entrepros.

Cette nouvelle version du site pour mobile permet aux clients professionnels de : consulter leurs comptes, leurs relevés et l'historique de leurs opérations, réaliser des virements, accéder à la Bourse, faire des simulations de crédit immobilier et consommation à titre privé, trouver une agence BNP Paribas, prendre rendez-vous avec un conseiller, et trouver les distributeurs à l'étranger du réseau Global Alliance...

Les banques partenaires sont : Bank of America (Etats-Unis), Barclays (Royaume-Uni, Espagne, Portugal, certains pays d'Afrique, Ile Maurice), Deutsche Bank (Allemagne, Italie, Espagne, Pologne, Inde), Scotiabank (Canada, Mexique, Chili, Pérou, Guyane, Caraïbes), Westpac (Australie, Nouvelle-Zélande, Océanie), Ukrsibbank (Ukraine).

(C)  Finance  Plus
Source : http://bourse.challenges.fr http://banques-assurances.blogspot.com Pour nous faire parvenir une information : contact@ikwpr.com

Quand les internautes financent des entreprises

Le "crowdfunding", ou financement participatif ouvert aux particuliers, se développe dans le monde de l’entreprise, mais doit encore faire ses preuves
En ce mois d’octobre, l’institut de beauté toulousain « Poudres de fée » a fait appel à un crédit un peu spécial. Afin de récolter les 6 000 € dont l’entreprise a besoin pour combler ses besoins de trésorerie, sa créatrice est passée par Friendsclear.com. Ce site d’un nouveau genre permet aux entrepreneurs de lever des fonds grâce au crowdfunding, un système de financement participatif via Internet.
Ce modèle d’investissement, déjà connu en France dans les milieux artistiques, a fait son entrée dans le monde de l’entreprise il y a environ deux ans. Qu’elles soient naissantes, en développement ou confirmées, différentes formules sont proposées aux internautes disposés à casser leurs tirelires.
L’un des pionniers dans ce secteur, Wiseed.fr, propose de devenir actionnaire de start-up innovantes en phase de démarrage à partir de 100 €, puis de bénéficier à long terme des dividendes de celles-ci. De son côté, Friendsclear permet aux entrepreneurs de contracter, sur trois ans, un crédit auprès des internautes, qui reçoivent des intérêts à hauteur de 4,5 % de la somme avancée.

"Les professionnels passent à côté d’idées intéressantes"

Deux manières différentes de rentabiliser son épargne, mais qui visent un but commun : soutenir des initiatives atypiques ou innovantes qui n’ont pas forcément eu la chance d’être financées par un établissement bancaire classique.

« Les professionnels de l’investissement passent souvent à côté d’idées intéressantes, explique Thierry Merquiol, fondateur de Wiseed.fr. Nous partons du principe que la foule dit juste. Les projets que nous sélectionnons doivent néanmoins contribuer à l’amélioration de la qualité de vie et à la création d’emplois. »

Si le concept du crowdfunding est en marche, c’est aussi dû à un changement dans le comportement des particuliers à l’égard de leur épargne. « Les gens veulent savoir où va exactement leur argent, mais aussi pouvoir s’impliquer dans une initiative économique locale », précise Jean-Christophe Capelli, président de Friendsclear.

12 start-up ont vu le jour grâce au crowdfunding

Depuis sa création en avril 2008, le site de Thierry Merquiol a déjà permis à douze start-up spécialisées dans la recherche ou les biotechnologies de voir le jour. Le montant de l’investissement moyen effectué par chaque internaute est passé de 450 au début à 750 € aujourd’hui. Sur Friendsclear, c’est plus de 10 000 € que chaque prêteur réparti en moyenne sur les différents projets de son choix.

Des résultats encourageants, mais qui ne suffisent pourtant pas encore à faire vivre leurs créateurs. « Généralement, ces plates-formes se rémunèrent par une petite commission qu’elles prélèvent sur les fonds empruntés, ce qui ne leur permet pas encore de rentrer dans leurs frais, explique Malik Goulamhoussen, spécialiste de la finance et auteur du blog Crowdfunding.fr. De plus, elles doivent compter avec une législation encore très figée en matière de levée de fonds en France, une activité qui reste contrôlée par les banques. »

Conscients de ces obstacles, les fondateurs de Wiseed ou de Friendsclear restent pourtant très optimistes quant à l’avenir. « Il faut au moins cinq ans pour qu’une entreprise soit efficace. Nous vivons encore sur nos fonds propres mais espérons devenir rentables en 2012-2013 », prévoit Thierry Merquiol.
Evelyne ORMAN
Source : http://www.la-croix.com
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Amaguiz, l’assureur low cost nouvelle génération, étend son offre avec une assurance Prévoyance Accidents.

- Une offre bâtie en partant de l’écoute des clients
- Deux formules - individuelle ou familiale - avec des garanties complètes en cas d’accidents graves de la vie privée, professionnelle ou scolaire
- Une sécurité financière pour maintenir le niveau de vie
- Des solutions concrètes d’assistance pour faciliter le quotidien
- Une offre très compétitive à 6,90 €/ mois ou 14,90 €/mois suivant la formule

L’assurance Prévoyance Accidents d’amaguiz est construite à partir des besoins des clients.
A l’instar des offres automobile et habitation d’amaguiz, l’assurance Prévoyance Accidents a été bâtie à partir des besoins exprimés des clients. Les consommateurs souhaitent en effet bénéficier d’une offre simple, claire et très couvrante en cas d’accident grave. Cette nouvelle offre permet à amaguiz d’offrir une gamme plus complète à ses clients.

Deux formules pour s’adapter à chacun, à un tarif très compétitif.
L’assurance Prévoyance Accidents d’amaguiz se décline en 2 formules, Solo pour une personne à 6,90 € /mois et Famille à 14,90 € /mois. Elle permet ainsi de s’adapter aux besoins de chacun.

Une offre très complète pour tous les accidents de la vie.
Elle permet de bénéficier d’une protection pour tous les accidents graves de la vie privée, professionnelle et scolaire : chutes, blessures, brûlures, accidents survenus en pratiquant un sport ou lors des loisirs, accident du travail, accident de la circulation (en tant que piéton, à vélo, en rollers, ou passager d’une voiture ou d’un deux-roues)…
Une sécurité financière pour maintenir son niveau de vie.
Elle offre une sécurité financière en cas d’accident grave entraînant une réduction temporaire ou définitive des revenus professionnels (suite à une incapacité temporaire totale, une invalidité ou un décès) jusqu’à 1 million d’euros. En cas de handicap ou d’incapacité temporaire totale, l’assurance intervient en complément des autres assurances pour maintenir les revenus jusqu’à 80 % du salaire net jusqu’à la retraite de l’assuré. En cas de décès, elle aide financièrement les proches (enfants et conjoint) en maintenant 60 % du salaire net.
Des solutions concrètes pour faciliter le quotidien et celui de sa famille.
L’assurance prend en charge les frais médicaux (prothèse, fauteuil roulant…) restant à la charge de l’assuré et de sa famille et une assistance à domicile au quotidien étendue et concrète (repas, ménage, garde d’enfants, soutien scolaire, aide au retour à l’emploi…). De plus, en cas d’invalidité, l’offre prend en charge l’aménagement du logement et de la voiture pour favoriser le retour à l’autonomie. Cet élément constitue aujourd’hui l’une des attentes majeures des consommateurs en matière d’assurance.

À propos d’amaguiz (www.amaguiz.com)
Amaguiz est un assureur nouvelle génération, sur Internet, créé à partir de l’écoute des consommateurs. Depuis le 1er juillet 2008, l’assurance auto d’amaguiz.com offre au plus grand nombre la possibilité de s’assurer au kilomètre parcouru, à moindre coût. Innovation et simplicité caractérisent cette nouvelle offre. Amaguiz.com, c’est aussi une assurance 100% liberté avec une souscription en ligne, une résiliation possible à tout moment, une assurance 100 % proximité avec l’attribution d’un conseiller personnel dès l’enregistrement d’un devis pour accompagner l’assuré et une assurance 100 % collaborative qui se construit avec les internautes. Depuis le 14 mai 2009, amaguiz propose une offre d’assurance habitation. Amaguiz emploie 100 collaborateurs. Fin juin 2010, amaguiz avait plus de 72 000 contrats en portefeuille. Amaguiz est une filiale de Groupama.

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Retraite: Epargner grâce à sa carte bancaire

INNOVATION - Une carte de paiement Mastercard déclenche une cotisation retraite à chaque paiement...

Dépenser plus pour épargner plus. C’est l’idée, tout ce qu’il y a de plus sérieux, de Futureo, qui a lancé ce lundi une carte de paiement avec laquelle chaque achat engendre un complément d’épargne retraite. En l’utilisant, les dépenses viennent alimenter, sur une base de 0,5%, un contrat d’assurance-vie orienté vers la constitution d’une épargne retraite. Ce pourcentage peut atteindre jusqu’à 20% chez les enseignes partenaires, qui y vont de leur poche pour remplir la cagnotte du client.
«Presque 500 sites web marchands, mais aussi des réseaux physiques de magasins, sur les principaux postes de dépenses courant », sont associés au projet, annonce Marc Baillet, président fondateur de Futureo. La chaîne de jouets Toys R Us, les brasseries Flo et Hippopotamus, ou encore rueducommerce.com sont les noms les plus connus. En moyenne, les entreprises partenaires reverseront 3 à 4% de ses achats au titulaire d’une carte Futureo.

«Le capital final peut atteindre 22.000 à 40.000 euros»

Pour Futureo, le groupe Generali, troisième assureur européen, a créé un contrat spécifique. Dès que 100 euros sont réunis sur la carte, le compte est créé et la machine se met en branle. L’argent n’a pas vocation à rester immobile et fera des petits de son côté. Aligné sur ceux du marché, le taux de rémunération est estimé autour de 4%. Mais tout l’intérêt de Futureo est d’épargner soi-même, en supplément.
La possibilité est offerte à l’utilisateur de stimuler son épargne en ajoutant de l’argent sur le contrat par des versements réguliers. A tout moment, s’il en ressent le besoin, le contractant peut retirer les fonds générés par le programme Futureo. L’idéal, pour cette forme d’épargne reste le long-terme. Sur une période de 25 à 30 ans, le capital final peut atteindre 22.000 à 40.000 euros, selon l’utilisation de la carte.

Des jeunes en cœur de cible

Les jeunes adultes, le coeur de cible de Futureo, y verront un apport sympathique à leur retraite future, tandis que les seniors apprécieront de pouvoir épargner pour un proche. Aucune catégorie d’âge n’est écartée. Futureo s’est fixé pour objectif d’atteindre les 600 000 adhérents en 5 ans.
A l’usage, Futureo, qui n’est ni banquier, ni assureur, joue la carte de la simplicité. Commandée en ligne, ou par téléphone, la nouvelle carte, une Mastercard, vient remplacer celle de l’établissement bancaire du client. Le compte courant n’est pas affecté. Bien entendu, tout ceci n’est pas sans avoir un prix. Il en coûtera 45 euros par an au propriétaire de la carte Futureo. Son créateur Marc Baillet nuance ce montant, équivalent, selon lui, à «la cotisation moyenne des cartes en France». Un moindre mal.
Romain Gouloumès
Source : http://www.20minutes.fr

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« Super-bonus » de 65% de la Matmut : vraiment une bonne affaire ?

Vous entendez les comiques, Chevalier et Laspalès, vous vanter tous les mérites de la Matmut. Et, depuis quelques jours, le « super-bonus » de cette fameuse Matmut. Il s’agit de pousser le bonus qui, normalement, est plafonné à 50% – de le pousser jusqu’à 65%.
Est-ce vraiment une bonne affaire ?
Ecoutez, 65 % de bonus, au lieu de 50%, ce ne peut être que positif.
Après, il faut relativiser : il faut voir sur la base de quel tarif initial cet avantage se greffe. Mais, au final, oui, j’ai vérifié : les 65% de bonus permettent, effectivement, de profiter de tarifs très concurrentiels. Pas les plus bas du marché. Mais, par rapport à la couverture de ces contrats d’assurance, c’est vraiment bien placé en tarif.
Comment accède-t-on à ce super-niveau de bonus ?
A partir du moment où vous en êtes au bonus maximal de 50%, au lieu de rester plafonné à cette valeur maxi, votre bonus continue d’évoluer positivement, de 3-4% par an. Ce qui fait que, au bout de 6 ans sans accident responsable, effectivement, vous en arrivez à ces 65% de bonus.
Ce qui est tout à fait singulier puisque, selon le Code des assurances qui définit toutes les règles de fonctionnement des assureurs en France – y compris le système du bonus-malus automobile – le bonus ne peut pas aller au-delà de 50%.
La Matmut est le premier assureur à proposer un tel avantage ?
Non. Plus ou moins « sous le manteau », certaines compagnies, déjà, avantageaient leurs assurés qui posaient le moins de problème, en allant au-delà des 50% réglementaires maximum du bonus. Mais il n’y avait que deux assureurs qui pratiquaient ce type d’avantage :
La Maaf, avec un principe de bonus « à vie ». C’est-à-dire que, si vous avez un bonus maxi de 50% depuis au moins 3 ans, il ne sera pas réduit, même si vous vous rendez responsable d’un accident.
Et puis surtout, vous avez la Macif qui, depuis très longtemps, offre à ses meilleurs conducteurs – à ceux qui ont déjà un bonus de 50% depuis des années, une réduction de leur prime d’assurance, qui va encore plus loin que ce que propose la Matmut, puisqu’elle atteint 30, voire 35% de plus dans certains cas. Donc, c’est encore plus avantageux qu’à la Matmut.
Donc, rien de bien nouveau, finalement, à la Matmut ?
L’offre de la Matmut n’est pas totalement inédite, ni unique. C’est juste la première fois qu’un assureur met en avant un « super-bonus » supérieur à 50%. C’est un avantage bien réel.
Ceci étant, la Maaf et la Macif récompensent aussi la bonne conduite de leur meilleurs conducteurs, soit en déplafonnant ce seuil maxi de 50% de bonus, soit en offrant d’autres avantages. Ensuite, cet avantage de la Matmut n’a rien de nouveau : puisque le « super-bonus » de 65% a été instauré en 2005, il y a 5 ans.
Enfin, ne soyons pas dupes : parce qu’un bonus à plus de 50% – ou un autre avantage sur votre contrat d’assurance – c’est une sorte de fleur que vous fait votre assureur. C’est tout à fait légal ; mais c’est un arrangement contractuel entre vous et lui. Si vous changez de compagnie d’assurance, vous ne pourrez pas obtenir, d’office, ce même avantage que chez votre assureur habituel. C’est donc un moyen, aussi, de vous fidéliser.
Et fidéliser un client qui coûte peu d’argent à un assureur, c’est un bon plan, aussi, pour… lui !

Par Jean-Rémy Macchia
Source : http://www.france-info.com

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Assurances : la facture va s’alourdir en 2011

Mi-octobre, la Maif a été la première à annoncer une hausse de ses contrats d’assurance aux particuliers : en moyenne 3,5 % pour la multirisque habitation, 2,5 % pour les contrats auto. D'autres devraient suivre car tous les indicateurs tarifaires virent au rouge.

Les évènements climatiques en 2010 (inondations dans le Var, tempête Xynthia, orages de grêle dans le Doubs…) vont peser non seulement sur les contrats habitation mais aussi sur les contrats voitures de 2011. Autre raison à cette augmentation : la hausse du coût d’indemnisation des sinistres matériels, même si celui de l’indemnisation des sinistres corporels s’est stabilisé à un niveau « qui n’est pas satisfaisant », selon Gérard Andreck, président du Groupement des entreprises mutuelles d’assurance (GEMA).
Quant à la politique de désengagement des régimes obligatoires d’assurance maladie (baisse du remboursement de certains médicaments notamment), la menace de taxation supplémentaire de toutes les complémentaires santé afin d’aider au comblement de la dette de la Sécurité sociale, elles auront aussi des répercussions à la hausse sur les contrats santé.
Fin septembre, le GEMA tablait ainsi sur des augmentations autour de 4 à 5 % sur les multirisques habitation, autour de 1 à 3 % sur les assurances auto. Quant aux assurances santé, elles pourraient augmenter de 3,5 à 7 %.
Nul doute donc que les autres mutuelles devraient suivre le même chemin que la Maif d’ici la fin de l’année. Idem pour les compagnies privées, même si elles ne communiqueront pas toutes sur le sujet. L’assuré découvrira donc discrètement l’augmentation, lors du renouvellement de son contrat l’année prochaine.
Chantal Masson pour http://www.capital.fr

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Le Figaro lance son courtier en assurances en ligne

Christophe Mazzoleni, cofondateur et codirigeant de Cplussur.com, est l'invité du Buzz Média Orange-Le Figaro. 


Le groupe Le Figaro a lancé, mardi, son courtier en assurances en ligne Cplussur.com. Une première pour un groupe média, et une diversification qui s'avère avantageuse pour tout le monde. Selon Christophe Mazzoleni, codirigeant de Cplussur.com, en s'adossant à un média, le courtier en assurances réalise «une économie de coût d'acquisition et de marketing de 30%. C'est un chiffre qui parle de lui même. Cette économie est réalisée grâce à l'utilisation des espaces publicitaires sur les titres papier et Internet du groupe Le Figaro. Et cette économie, qui nous donne un avantage comparatif certain, est intégralement réinvestie dans l'amélioration de la qualité des produits, dans l'optimisation du service et la baisse des prix».
Mais, pour un groupe média, quel est l'intérêt de se diversifier dans l'assurance? «Pour les médias, la diversification du modèle économique répond aux difficultées économiques traversées. La diversification, ce n'est pas une option, c'est une obligation. L'intérêt d'un média pour la création d'un courtier en assurances, c'est de pouvoir remonter dans la chaîne de valeur. Un média monétise son audience en revendant son lecteur à des comparateurs pour quelques euros. Le comparateur revend ensuite ce contact à des courtiers en assurances pour quelques dizaines euros. Enfin, le courtier touche des commissions récurrentes qui peuvent représenter quelques centaines d'euros pour certains produits. On passe donc de l'unité à la centaine», explique Christophe Mazzoleni.

Ce mariage d'un média et d'un assureur pose la question d'un possible conflit d'intérêt entre le rédactionnel et le courtier. «Je vous rassure tout de suite sur ce point. Tout l'intérêt du modèle est d'être placé dans des rubriques qui touchent une audience très qualifiée. Le principal atout du média est de proposer un contenu rédactionnel qualitatif et surtout indépendant. Si jamais la ligne de démarcation entre l'indépendance rédactionnelle et le business est franchie, on casse la crédibilité du média et tout le modèle explose. Le lecteur n'est pas idiot, il se rend compte tout de suite et le modèle perd ainsi toute sa valeur», soutient la codirigeant de Cplussur.com.
Ce nouveau courtier en assurances souhaite se différencier en lançant la première assurance santé prévoyant le remboursement des soins de chirurgie esthétique. Produit gadget ou réel intérêt pour les éventuels clients? «Cela crée déjà un buzz. Le gros intérêt d'appartenir à un groupe média, c'est que nous sommes immédiatement considérés par l'ensemble du monde de l'assurance comme un courtier à très fort potentiel. Et un courtier peut, s'il estime qu'il manque dans une gamme de produits une spécificité particulière (dont fait partie la chirurgie esthétique), lancer un appel d'offre pour faire fabriquer par un assureur un produit spécifique. Le produit «chirurgie esthétique» n'existait pas. BNP Paribas Assurance, sous la marque Cardif, a répondu à nos attentes. C'est un produit de complémentaire santé classique, qui rembourse tous les postes habituels et également les frais de chirurgie esthétique, avec des plafonds successifs pouvant s'élever jusqu'à 1250 euros. Ce n'est pas un gadget. Chaque année, 50.000 actes de chirurgie esthétique sont pratiqués en France, dont 30% sur des hommes. Nous avons lancé cette offre ce lundi et avons déjà enregistré des souscriptions ce mardi», rapporte Christophe Mazzoleni.

Lancé ce mardi, Cplussur.com propose dès à présent une assurance santé et investira bientôt dans d'autres secteurs. «Une des promesses de Cplussur.com, c'est de couvrir tous les besoins des consommateurs en matière d'assurance . Nous commençons avec l'assurance santé. L'assurance emprunteur et l'assurance-vie suivront dans les semaines qui viennent. À la fin du premier trimestre 2011, nous couvrirons l'auto, la moto et l'habitation, pour proposer une offre complète», précise Christophe Mazzoleni. Selon le patron de Cplussur.com, ce courtier en ligne devrait travailler pour «quelques milliers de clients assez rapidement». Le groupe Le Figaro devrait quant à lui pouvoir opérer un «retour sur investissements d'ici 18 à 24 mois».
http://www.lefigaro.fr
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Vos assurances vous coûtent un mois de salaire

L'addition du coût des différentes assurances pour un ménage correspond plus ou moins à un mois de salaire. Pourtant les Belges ne se rendent pas vraiment compte de ce qu'ils souscrivent comme contrats, indiquent ce samedi les journaux du groupe L'Avenir.
L'addition du coût des différentes assurances pour un ménage correspond plus ou moins à un mois de salaire. Malgré ce montant investi chaque année dans ses assurances, le Belge y consacre très très peu de temps et pense trop souvent à tort être bien assuré, expliquent les experts Geert Dehouck et Bert De Paep. Beaucoup de Belges se contentent chaque année de payer les primes de leurs différentes assurances sans s'interroger sur leur situation, or celle-ci évolue au fil du temps.

Evaluation tous les 2 ans
"Il faut évaluer la situation tous les deux ans au moins", conseille Geert Dehouck. "Il s'agit en quelque sorte de faire un check-up. Ainsi, on constatera avec le temps que certaines polices peuvent être annulées tandis que d'autres devront être souscrites."
La matière étant complexe et les offres proposées très différentes, les experts conseillent de faire appel à un courtier en assurance indépendant qui pourra "évaluer objectivement les produits qui répondent à vos besoins".
Source : http://www.rtlinfo.be

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Chaîne de vidéo dailymotion très intéressante ...

Si l'innovation vous intéresse, alors cette chaîne est faite pour vous !
Les vidéos de Innovation-Groupama sur Dailymotion



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Gagnez un pack complet PS3 PlayStation Move incluant : 1 PS3 320

Préparez-vous à découvrir une nouvelle expérience de jeu sur PS3 avec le PlayStation Move, la nouvelle manette de détection de mouvements : une précision incroyable avec des jeux aux graphismes en Haute-Définition !



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Environnement : comment choisir mon épargne ? Le Guide éco-citoyen

Les Amis de la Terre publient aujourd’hui le rapport Investissement socialement responsable : l’heure du tri qui analyse la composition des fonds dits "éthiques" ou "ISR" (Investissement socialement responsable) et met ainsi en lumière l’écart entre la promesse des intitulés et la réalité des faits. Ces fonds sont en effet investis dans des entreprises multinationales ayant des pratiques sociales et environnementales désastreuses. La publication du rapport s’accompagne de la sortie du guide éco-citoyen Environnement : comment choisir mon épargne ? qui montre que de réelles alternatives existent, à commencer par les investissements solidaires.
Les Amis de la Terre ont étudié la composition des fonds ISR labellisés par Novethic en 2009. Le résultat est atterrant : parmi les 89 fonds analysés, pas moins de 71 fonds contiennent dans leurs portefeuilles d’actifs au moins une des 15 entreprises controversées sélectionnées par les Amis de la Terre pour leurs pratiques sociales et environnementales désastreuses : Total, BP, Areva, France Télécom, BNP Paribas, AXA, etc. Soisic Rivoalan, rédactrice du rapport, explique :
"Avec l’"Investissement socialement responsable", banques et assurances entrent dans la valse du "développement durable". Malheureusement, elles n’ont pas changé leurs pratiques réelles et se sont limitées à promouvoir un affichage qui n’a pas de sens. Elles vendent à leurs clients des fonds soi-disant socialement responsables mais il s’avère qu’ils ne le sont pas. Détenir des actions de Total, Shell, Areva ou de BNP Paribas est-il socialement responsable ? Pour les Amis de la Terre, la réponse est clairement "non". L’appellation "ISR" est donc totalement illégitime pour une immense majorité des produits d’épargne ainsi nommés par les banques et les assurances elles-mêmes".
Deux éléments majeurs expliquent la présence d’entreprises controversées dans les fonds "socialement responsables" : les fonds sont investis presque systématiquement dans des entreprises multinationales, par nature plus promptes à avoir des pratiques contestables. Par ailleurs, la notation extra-financière, telle que pratiquée par Vigeo (agence de notation extra-financière), est défaillante : juste avant l’explosion de Deepwater Horizon, la plate-forme pétrolière exploitée par BP, certains reportings extra-financiers n’hésitaient pas à noter au sein du groupe "une volonté de réduire son impact environnemental" et l’existence "d’une démarche active en gestion de la sécurité" [1].
- Téléchargez la synthèse du rapport ISR "Investissement socialement responsable : l’heure du tri" en cliquant ici.
Face à cet état de fait, les citoyens épargnants peuvent se trouver désemparés. Afin de les guider dans le choix de leur épargne, les Amis de la Terre publient, parallèlement au rapport, le guide éco-citoyen Environnement : comment choisir mon épargne ?. "Ce nouveau guide classe les produits d’épargne, du livret A à l’assurance-vie en passant par le livret développement durable, selon leurs impacts et leurs risques sociaux et environnementaux. Pour des informations plus détaillées, il est possible pour les épargnants de consulter le site internet www.financeresponsable.org. Les citoyens ne savent pas comment est employé l’argent qu’ils confient à leur banque ou à leur assurance mais une chose est certaine, cet argent ne dort pas et est même réemployé à des fins que les épargnants ignorent. Il est temps de prendre conscience que nos choix peuvent transformer la société. Plutôt que d’investir en bourse, les Amis de la Terre conseillent aux épargnants les investissements solidaires, aux garanties sociales et environnementales nettement supérieures à celles de l’ISR" conclut Yann Louvel, en charge de la campagne sur la responsabilité des acteurs financiers privés aux Amis de la Terre.
- Téléchargez le guide Environnement : Comment choisir ma banque ? en cliquant ici.
[1] Extrait de l’inventaire du fonds Saint-Honoré Europe SRI au 31/12/2009, Edmond Rothschild Asset Management


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Assurances: prévoir des hausses de 1 à 3%

La facture va être salée. Les assureurs mutualistes réunis au sein du Groupement des entreprises mutualistes d'assurance (Gema) prévoient une augmentation des tarifs d'assurance automobile comprise entre 1 et 3%, a indiqué jeudi son président, Gérard Andreck.
Ce relèvement est en bonne partie dû à la hausse du coût des sinistres matériels, qui devrait atteindre 3,5% en 2010, selon des estimations établies sur la base des chiffres disponibles fin juin.
Le coût d'indemnisation des sinistres corporels s'est lui stabilisé, mais à un niveau «qui n'est pas satisfaisant», selon Gérard Andreck.

Hausse plus marquée sur l’assurance habitation

Les assureurs mutualistes représentent une part très importante du marché de l'assurance automobile, dont c'est le métier historique avec l'habitation.
Comme prévu, la hausse devrait être encore plus marquée en assurance habitation, sous l'effet de la multiplication des événements climatiques, de la tempête Xynthia aux inondations du Var en passant par les orages de grêle dans le Doubs.
Pour 2011, le Gema prévoit une hausse de 4 à 5%. «Il faut s'attendre à ce que les primes MRH (multirisque habitation) augmentent significativement», a expliqué Gérard Andreck lors d'une conférence de presse.

Décisions tarifaires «pas encore prises»

Outre l'auto et l'habitation, des hausses sont prévisibles en santé, a-t-il ajouté.
Le président du Gema a néanmoins indiqué que «pour la quasi-totalité des entreprises (d'assurance), les décisions (en matière tarifaire) ne sont pas encore prises».

Source : 20minutes.fr

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Mauvaise surprise pour l'assurance-vie

Bercy a tranché. Les capitaux placés sur les contrats d'assurance-vie souscrits par l'époux survivant entrent désormais pour moitié dans la succession lorsque le couple était marié sous le régime de la communauté. Et ils sont taxés.

Sans tambour ni trompette, par une simple réponse ministérielle, Bercy vient de mettre fin à un des avantages méconnus, mais important, de l'assurance-vie en matière de succession. Certes, il n'a pas touché à la fiscalité des contrats souscrits par le défunt, dont les capitaux sont transmis sans impôt (sauf les prélèvements sociaux), dans certaines limites. Mais il a changé la donne pour les contrats souscrits par le conjoint survivant, et que celui-ci conserve bien sûr à son nom après le décès de son époux. Ces contrats, lorsque le couple est marié sous le régime de la communauté réduite aux acquêts (le régime de tous les Français mariés sans contrat depuis 1966), sont presque toujours alimentés par les revenus du ménage, c'est-à-dire des deniers communs. C'est pourquoi, depuis 1992 et un célèbre arrêt (l'arrêt Praslicka) de la Cour de cassation, les époux mariés sous ce régime et qui divorcent, doivent intégrer ces capitaux dans la masse des biens à partager entre eux. Mais, curieusement, en cas de décès, la règle était beaucoup moins claire. Les juristes s'interrogeaient: les sommes placées sur ces contrats, qui sont des produits d'assurance et non de simples placements financiers, devaient-elles être traitées comme un bien commun? C'est-à-dire entrer pour moitié dans la succession du défunt? L'administration s'était gardée de trancher. Sa position était simple: si les héritiers considéraient que le contrat était un bien commun aux époux, la moitié de leur valeur entrait dans la succession du défunt, et était donc taxée. Sinon, l'administration fiscale ne réclamait rien. « C'est pourquoi, en pratique, soit les héritiers (et notamment le conjoint survivant) se gardaient bien d'évoquer devant le notaire le contrat en question, soit ils s'entendaient pour ne pas en tenir compte. Ainsi, il n'apparaissait pas dans la succession. Les droits de succession s'en trouvaient allégés d'autant », rappelle Rosa Riche, responsable de l'ingénierie patrimoniale dans la banque de gestion de fortune Bordier &Cie France.
Mais, à l'heure de la rigueur fiscale, Bercy vient de revoir sa copie. La réponse ministérielle Bacquet du 29 juin dernier prévoit que la valeur de ces contrats doit désormais entrer pour moitié dans la succession du défunt, et être imposée. « Sur le plan fiscal, cela ne change rien pour le conjoint lui-même, puisqu'il est exonéré de tout impôt sur la transmission. En revanche, cela alourdit les droits de succession des autres héritiers, des enfants notamment, puisque leur part est calculée sur un actif plus important : il se trouve augmenté de la moitié de la valeur des contrats du conjoint survivant au jour du décès de son époux », observe Rosa Riche. Et surtout, si les enfants voient leur part augmenter, le conjoint, lui, voit la sienne diminuer. Son patrimoine, après la succession, sera moins important qu'il ne l'était quand son contrat restait hors succession. Mais déjà, les experts ont des solutions à proposer aux Français soucieux d'éviter cette taxation. « Si l'on souhaite que le conjoint survivant conserve l'intégralité des capitaux de ses contrats d'assurance-vie, hors droit de succession, il suffit de prévoir devant notaire une clause de préciput sur cet actif », souligne Valérie Zeller, ingénieur patrimonial chez Mirabaud France. Prudence aussi lorsqu'un des conjoints souscrit un contrat pour y replacer des fonds propres (héritage, donation, bien possédé avant le mariage). Dans ce cas, il est conseillé de faire figurer dans le contrat une clause de remploi, expliquant l'origine des capitaux investis. Si le conjoint peut prouver que les capitaux placés sur ses contrats sont des biens propres, ils n'auront pas à être pris en compte dans la succession.

Source : http://www.lefigaro.fr

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4 solutions pour bien placer ses liquidités

1. Livrets réglementés : un eldorado incontournable
Dans la famille des livrets réglementés, aux cotés du Livret A, le livret Bleu et le LDD (livret de Développement durable, ex-Codevi) offrent les meilleurs rendements du marché : 1,75 % net d'impôts et de prélèvements sociaux. Le problème : ces livrets sont plafonnés, vous ne pourrez donc pas y investir toute votre trésorerie. La limite est de 15.300 euros pour le livret A et le livret Bleu et de 6.000 pour le LDD.
Par ailleurs, un épargnant ne peut détenir qu'un seul livret A ou livret Bleu, mais peut être titulaire à la fois d'un livret A ou Bleu et d'un LDD. Il est donc possible de placer jusqu'à 21.300 euros sur ces produits réglementés, sans risque et parfaitement liquides. Souvent ce plafond est largement suffisant pour un épargnant moyen : s'il a davantage à investir, une fois ces livrets saturés, mieux vaut opter pour un placement de moyen terme afin d'obtenir un meilleur rendement .
Attention à bien respecter la règle de calcul des intérêts : ces derniers courent à partir du début de chaque quinzaine. Des sommes déposées et retirées la même quinzaine ne seront pas rémunérées. Et si vous placez de l'argent sur votre livret le 16 d'un mois et que vous le récupérez le 29 du mois suivant, vous perdez deux quinzaines d'intérêts. Pour maximiser votre rémunération, effectuez vos versements le 15 ou le 30 du mois, et vos retraits le 1er ou le 16 de chaque mois.
2. LEP, livret Jeune : deux pistes pour gagner davantage
« Entre les Français qui ne paient pas d'impôt sur le revenu et ceux qui acquittent un faible montant, ce sont près de deux épargnants sur trois qui sont éligibles au livret d'épargne populaire (LEP) », confie Etienne-Marie Airiau, directeur général de la BPE. Ce livret réglementé, sur lequel vous pouvez investir jusqu'à 7.700 euros, a vu son taux d'intérêt remonter le 1er août à 2,25 % net d'impôt. Cette rémunération est exceptionnelle dans la conjoncture actuelle. Attention, vous ne pouvez en détenir qu'un seul, et uniquement si vous avez acquitté moins de 757 euros d'impôt sur le revenu en 2010. Si c'est votre cas, foncez à votre banque pour en ouvrir un, et saturez son plafond si vous le pouvez.
Autre piste pour essayer de gagner davantage qu'avec un livret A : investir sur un livret Jeune. Ce produit est réservé aux 12-25 ans. Mais si vous avez des enfants mineurs, vous pouvez en ouvrir un à leur nom et... y placer une partie de vos liquidités. Attention, ils sont plafonnés à 1.600 euros et leur rémunération, qui ne peut pas être inférieure à celle du livret A soit 1,75 % net, dépend de l'établissement bancaire. Faites le tour du marché pour repérer les meilleurs livrets jeunes. Dans le peloton de tête : BPE (4 %), Groupama Banque et le CIC (3,50 % net), la Caisse d'épargne Ile-de-France (3,25 %), BNP Paribas, le Crédit Mutuel et LCL (2,75 %).
3. Super livrets : profitez des promotions de la rentrée
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Cartes bancaires : mode d'emploi

Les cartes internationales Visa ou MasterCard (à débit immédiat ou différé) sont les cartes bancaires les plus fréquemment utilisées en France. En fonction de la banque émettrice, votre carte bancaire (souvent appelée aussi carte bleue) peut vous revenir à 50 euros ou bien à seulement quelques euros. Petit état des lieux des forces en présence.
cartes bancaires internationales

Aujourd'hui, trois types d'acteurs avec des prix et des prestations foncièrement différents se disputent le marché des cartes bancaires internationales : les banques traditionnelles comme BNP Paribas, les banques sur internet comme ING Direct et dernièrement arrivées les enseignes de grande distribution.

1. Le cas des banques traditionnelles

Ce sont en général les banques traditionnelles qui facturent les cartes bancaires au prix le plus fort. Les prix varient en fonction des prestations offertes et en cas de souscription du package maison.
Par exemple, à la Société Générale, la carte Bleue Visa à débit différé coûte 46 euros par an mais ce prix revient à 7,80 euros par mois si vous adhérez au package "Jazz", à 4,55 euros par mois dans le cadre d'un Pack Jeunes ou encore à 23 euros par an si vous avez moins de 25 ans. La carte intègre une assistance et une assurance voyage mais charge 1 euro pour chaque retrait dans le mois effectué dans une banque concurrente au-delà du quatrième. Vous l'avez compris, repérer la valeur intrasèque de sa carte bancaire dans ces conditions n'est pas chose aisée.
Du fait de la concurrence "physique" entre les agences bancaires, la fourchette des prix des cartes bancaires est particulièrement étroite (aux alentours de 50 euros) et l'on observe relativement peu de différences d'une agence à l'autre.

2. Le cas des banques en ligne

La carte bancaire représente un des chevaux de bataille des banques en ligne pour gagner des parts de marché. Pour cela, les cyberbanques proposent en général à leurs nouveaux clients des offres de bienvenue qui incluent la gratuité de la carte. Autre avantage, la simplicité des offres bancaires. Ainsi, contrairement aux banques traditionnelles, les banques en ligne ne proposent pas ces "packages" qui rendent les comparaisons plus difficiles (à l'exception notoire d'AXA Banque).
Après la première année qui généralement s'effectue dans des conditions privilégiées, le prix moyen des cartes bancaires est de l'ordre de 30 euros par an avec des prestations de service complètes.

3. Le cas des enseignes de grande distribution

Dernières venues sur le marché des cartes bancaires, les enseignes de grande distribution sont fidèles à leur reputation et proposent souvent leurs cartes à prix cassés, du moins la première année. Par exemple la carte est à un euro chez Intermarché la première année et passe ensuite a 18 euros les années suivantes. En moyenne, le prix de la carte varie entre 15 et 20 euros en fonction des distributeurs.

L'intérêt pour les enseignes est double: en plus de fidéliser le client (avec des remises en magasin quand un montant d'achat est atteint) les cartes bancaires apportent une nouvelle source de revenus aux super et hypermarchés.
Pour le consommateur, l'intérêt n'est pas toujours évident. En effet, toutes les cartes sont systématiquement adossées à une réserve d'argent de type crédit revolving, qui implique des taux d'intérets de près de 20% en cas d'utilisation de la réserve.
Enfin, il est important de noter que souscrire une carte bancaire dans une enseigne de grande distribution ne signifie pas pour autant devoir changer de banque. Les achats effectués avec ces cartes débitent simplement le compte auxquels elles sont rattachées.

4. Notre verdict

En tant que consommateur, avoir la possibilité de choisir sa carte bancaire montre une sacrée evolution par rapport à il y a quelques années !
A banque-en-ligne.net, nous nous félicitons de ce changement et espérons que les vertus de la concurrence vont continuer de s'appliquer.

Comme nous l'avons vu, chaque compétiteur à ses forces et faiblesses et ce sera donc in fine à vous de choisir la carte idéale.
En comparant les rapports qualités prix de chaque type d'établissement notre choix se porte sur les cartes des banques en ligne qui proposent d'après nous le plus de transparence et cela à un prix concurrentiel.

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Source : http://www.banque-en-ligne.net

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Responsabilité civile : les chiens doivent être assurés

Le montant des sommes versées par les assureurs suite à des morsures de chiens a explosé aux Etats-Unis l'année dernière. En France aussi les propriétaires sont responsables des dégâts causés par leurs chiens, voici quelques précautions à prendre pour assurer son animal.

Selon les derniers chiffres publiés par le Centre de documentation et d'information de l'assurance, 500.000 personnes seraient chaque année en France victimes de morsures de chiens. Et 60.000 cas nécessitent une hospitalisation. Il n'existe pas dans l'Hexagone de données permettant l'évaluation financière de ces accidents. Les Etats-Unis viennent en revanche de publier des chiffres. En 2009, les 4,7 millions de morsures de chiens ont coûté 412 millions de dollars aux assureurs américains. Un chiffre en hausse de 6,4% par rapport à 2008. En moyenne, une plainte entraîne le versement de 24.000 dollars à la victime. Les assureurs suisses se sont également intéressés aux coûts engendrés par les morsures. Près de 10.000 personnes seraient attaquées chaque année, et la facture s'élèverait à 3,3 millions de francs suisses par an (environ 2,5 millions d'euros) pour les assureurs. La grande majorité des chiens vivent heureusement sans causer d'accident, les maîtres doivent néanmoins veiller à assurer leurs animaux pour éviter toute déconvenue. La loi française prévoit en effet que la personne qui a la garde d'un animal son propriétaire ou une personne à qui il a été confié pour une longue durée - est responsable des dommages que celui-ci cause.

Assurance multirisques habitation

La plupart des chiens peuvent être assurés au titre de la «responsabilité civile» avec le contrat multirisques habitation souscrit pour le logement de leur propriétaire. Il est néanmoins nécessaire de se renseigner sur l'étendue de la garantie. Certains assureurs ne couvrent pas l'intégralité des dommages et prévoient la retenue d'une franchise.
De plus ce type d'assurance ne prend en compte que les dommages causés par les chiens à des tiers (personnes renversées, morsures, voiture abîmée si elle l'a percuté…) Si les dommages matériels ont lieu au domicile du propriétaire, seule une assurance comprenant une garantie tous risques mobiliers les prendra en charge. Par ailleurs, les compagnies peuvent soumettre l'acceptation du contrat à différents critères. L'âge du chien est notamment pris en compte. Si l'animal n'a jamais été assuré et qu'il a plus de dix ans, la couverture peut être refusée. Mais d'autres caractéristiques peuvent aussi compliquer la souscription d'une assurance, comme le fait que le chien soit utilisé à dans le cadre d'une activité professionnelle, sa taille ou sa race.

La catégorie du chien

De nombreux faits divers ces dernières années ont en effet durci la réglementation. Trois textes législatifs ont établi une classification des animaux dits «dangereux». Plusieurs races ont été rangées dans deux catégories : celle des chiens considérés comme «d'attaque» (catégorie 1) ceux de «garde ou de défense» (catégorie 2). Pourtant, la loi impose aux propriétaires de souscrire une assurance de responsabilité civile pour ce type d'animaux. Si le contrat d'assurance habitation du propriétaire ne prévoit pas la couverture de ce genre de risque, la plupart des compagnies proposent l'ajout d'une option moyennant le paiement d'un forfait supplémentaire. Si ce n'est pas le cas, le propriétaire devra changer d'assureur et contracter une assurance habitation auprès d'une autre compagnie qui propose cette option car celle-ci ne peut être souscrite indépendamment d'un contrat habitation.
Enfin, il faut savoir que tous ces contrats ne couvrent pas les frais de soins en cas de blessures subies par l'animal. Il faudra pour cela souscrire une assurance santé spécifique, dont la couverture est elle aussi plus ou moins étendue allant du remboursement des consultations vétérinaires, à la prise en charge des opérations ou des vaccins ; En France seuls 2% des animaux ont une assurance santé, contre 80% en Suède.

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Source : http://www.lefigaro.fr

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Hausse du livret A : "l'épargne à nouveau protégée contre l'inflation"

Le taux du livret A est relevé de 1,25% à 1,75%. Un expert explique pourquoi c'est significatif.

Le « produit d'épargne préféré des Français », le livret A, devrait retrouver un peu d'attrait. Ce dimanche 1er août, son taux de rémunération est relevé de 1,25 % actuellement à 1,75 %. Échappant à la fois à l'impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux, il a attiré 2,34 milliards d'euros d'épargne au premier semestre, en dépit d'un taux de rémunération très bas. Cyril Blesson, directeur de la recherche économique chez Seeds Finance explique en quoi cette hausse est significative.
- Le taux de rémunération du livret A permet-il aux ménages de protéger leur épargne contre l'inflation ?
Cyril Blesson - Il le leur permettra à nouveau à partir du 1er août. Ce n'était plus le cas depuis la fin du premier trimestre. Avec la remontée de l'inflation, le taux réel du livret A était en effet devenu négatif. Cela devrait permettre de dynamiser la collecte. Les encours du livret A pourraient progresser de deux à trois milliards d'euros d'ici à la fin de l'année, hors intérêts versés.
- Comment le rendement du livret A se positionne-t-il par rapport à celui des autres placements sans risque ?
- Très favorablement car le livret A présente deux avantages : son taux suit l'inflation et ses revenus sont défiscalisés. Les taux de rémunération des autres placements liquides restent extrêmement bas compte tenu des faibles taux d'intérêt sur les marchés monétaires. Les comptes à terme par exemple affichent des rémunérations indexées sur les taux Euribor auxquels il faut enlever la fiscalité. Les livrets d'épargne non réglementés sont fiscalisés : pour se comparer au livret A ils doivent donc au moins offrir un rendement supérieur à 2,5 %.
- Et par rapport à l'assurance-vie ?
- L'assurance-vie en euros est toujours très attrayante car elle offre des rendements bruts proches de 3,7-3,8 %, mais on ne peut pas la considérer comme un placement liquide - même si des possibilités de retraits anticipés existent - car il faut détenir un contrat pendant au moins huit ans pour bénéficier pleinement des avantages fiscaux. Toutefois, aujourd'hui, c'est l'assurance-vie en euro plus que le livret A qui apparaît comme le « placement préféré des Français », d'autant que ce produit, sécurisant, répond aussi aux besoins d'épargne retraite.

Propos recueillis par Sophie Rolland,
Source : La Tribune

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Les tarifs de l'assurance auto vont s'envoler

Les assureurs automobiles prévoient une augmentation annuelle de leurs tarifs de 3 à 5% en moyenne sur les trois prochaines années. Ils cherchent ainsi à se remettre d'une année 2009 très coûteuse.

Mauvaise nouvelle pour le portefeuille des automobilistes: d'après le quotidien Les Echos paru ce jeudi, les assureurs visent une hausse moyenne de leurs tarifs entre 3% et 5% par an, avec pour objectif une progression globale de 10% sur les trois prochaines années.
Après une baisse généralisée des primes d'assurance depuis 2006 (en moyenne entre -0,5% à -1% par an), les tarifs devraient repartir à la hausse. «Les effets sur la facture varieront sensiblement d'un assureur et d'un assuré à l'autre. Pour mémoire, la prime moyenne pour un quatre roues est de l'ordre de 450 euros HT» indique le quotidien économique.
La hausse a déjà commencé selon les Echos qui s'appuie sur deux indicateurs: d'après le comparateur Assurland, l'indice des prix en assurance automobile des particuliers (Ipap) a augmenté de 4% en rythme annuel en avril et de 1,2% en juillet. De plus, le chiffre d'affaires de l'assurance auto a augmenté de 2% à fin mai selon la Fédération française des sociétés d'assurance (FFSA).

La mauvaise année 2009 en cause

Les raisons de cette envolée des prix sont multiples. L'année 2009, marquée par des tempêtes, une hausse du kilométrage et le relâchement des comportements au volant, a été très coûteuse aux assureurs. Or, la FFSA ne voit pas d'amélioration pour l'année 2010 : «tous les indicateurs restent au rouge» explique-t-elle.
En outre, les Echos précisent que le coût des réparations a augmenté de 3 à 4% en moyenne chaque année et que les assureurs, dont les résultats financiers sont réduits, «ont moins de marge de manoeuvre».

Hausse générale des dépenses obligatoires

Pour Thierry Saniez, délégué général de l'association de consommateurs CLCV, cette annonce s'inscrit dans une augmentation plus générale des tarifs des assureurs qui concernent aussi bien les assurances automobile et habitation que les mutuelles de santé . Un phénomène d'ampleur qu'il juge d'autant plus préoccupant que ces hausses touchent des dépenses obligatoires, ou bien très fortement conseillées.
«Les assureurs ont toujours des résultats favorables même si l'année 2009 a été difficile pour tout le monde, ajoute-t-il. On pose ici la question du partage des résultats entre actionnaires et consommateurs. Ces annonces donnent l'impression que le consommateur passe après l'actionnaire».
Source : Le figaro
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BNP Paribas, 1ère à proposer à ses clients une application dédiée sur l’iPad

BNP Paribas est la première banque sur l’App Store de l’iPad en proposant à ses clients de télécharger gratuitement l’application « Mes Comptes ». Dès l’arrivée en France de l’iPad, et grâce à cette application, les clients de BNP Paribas pourront gérer leurs comptes sur cette tablette nouvelle génération.
Ce nouveau service entre dans le cadre du chantier accélérateur Internet et mobile lancé par BNP Paribas l’an dernier afin de devenir leader de la banque en ligne en 2012.
L’application « Mes Comptes » pour iPad respecte les critères de modernité et d’usage de ce nouvel écran tactile.  Les clients pourront ainsi : consulter leurs comptes, effectuer des virements, consulter la Bourse, faire des simulations de crédit immobilier, de crédit à la consommation et de crédit automobile, accéder à un comparateur d’épargne (PEL, CEL, LDD, livret A, Compte épargne), être mis en contact, sous 48h, avec des conseillers spécialisés épargne par mail ou par rappel et enfin accéder à l’ensemble du site www.bnpparibas.net
Il est également possible avec l’iPad de demander l’ouverture d’un compte à La NET Agence, la nouvelle agence sur Internet de BNP Paribas. La création de l’application « Mes Comptes » s’inscrit dans la continuité des services déjà proposés par BNP Paribas pour l’iPhone et Android.
En novembre 2009, BNP Paribas a lancé une nouvelle version du site BNPPARIBAS.NET accessible pour les clients particuliers sur iPhone. A ce jour, ce site totalise plus d’un million d’utilisations. Dernièrement, BNP Paribas a proposé une version du site Banque Privée accessible également depuis l’iPhone.
Pour rappel, BNP Paribas a été la première banque française a être référencée dans l’App Store en avril 2009 avec l’application gratuite « les bons comptes à Z€ro» téléchargée plus de 60 000 fois. BNP Paribas est également présente en réalité augmentée avec l’application « Spot » qui permet d’afficher les agences et leurs distributeurs les plus proches en fonction de l’environnement géo localisé et par le capteur photo du mobile.
Avec cette dernière innovation, BNP Paribas montre une nouvelle fois sa capacité d’innovation en partant à la conquête des internautes. La banque de détail en France a fait d’Internet une des priorités de son plan stratégique.
« BNP Paribas s’est engagé dans un ambitieux programme accélérateur sur Internet afin de devenir le leader de la banque en ligne en 2012. Nous avons choisi de prolonger par l’Internet la force dun multi-canal construit ces dernières années dans notre banque. En moins de six mois, la fréquentation du site BNPPARIBAS.NET sur mobile a quadruplé. La banque en ligne  BNP Paribas s’inscrit résolument au sein d’un dispositif global comprenant Internet et notre réseau d’agences.  » déclare Virginie Fauvel, Directrice des activités banque en ligne.
Pour télécharger gratuitement l’application « Mes Comptes » depuis un iPad, tapez « BNP Paribas » dans la zone de recherche de l’App Store.

Source : http://www.news-banques.com

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Crédit Agricole : lancement de « Mon budget », une application bancaire française de gestion de budget sur iPhone

Le Crédit Agricole  propose à ses clients de télécharger gratuitement depuis l’App Store(1) une application de gestion de budget pensée spécifiquement pour l’iPhone (2) : « Mon Budget ».
Ainsi, à compter du 24 juin 2010, les clients de la banque pourront gérer leur budget sur leur iPhone, mais aussi sur iPad et iPod Touch.
Cette application s’inscrit dans le cadre de la dynamisation du canal mobile déjà engagé par le Crédit Agricole. En effet, dès juillet 2008, le Crédit Agricole a été l’une des premières banques à lancer son site de banque en ligne avec une ergonomie dédiée iPhone. Aujourd’hui, cet espace compte près de 257 000 connexions par mois.
Un véritable tableau de bord de gestion budgétaire
« Mon Budget » va plus loin que la simple consultation des comptes. C’est un véritable tableau de bord interactif de gestion budgétaire. Il allie les fonctionnalités de la banque en ligne à celles d’un logiciel de gestion du budget, tout en conservant la simplicité de navigation et l’ergonomie des services qui caractérisent les applications iPhone. Ainsi, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, et quel que soit le lieu où il se trouve, l’utilisateur peut gérer son budget, l’application fonctionnant aussi bien en mode connecté que déconnecté.
« Mon Budget » allie pédagogie et accompagnement
  •  Grâce à la fonction « Faire mes comptes », le client peut accéder à la vue classeur de ses comptes, saisir une opération ou la catégoriser d’un simple clic.
     
  • Avec « Gérer mon budget », le client dispose des outils lui permettant de mieux comprendre son comportement passé (vue rétroviseur) afin de mieux anticiper l’avenir (définition des budgets moyens). Par ailleurs, grâce à un système de barres d’état et d’alertes sur dépassement, le client peut piloter ses dépenses et ainsi éviter les mauvaises surprises. 
  • « Voir mon portefeuille » offre au client une vue de l’ensemble de ses comptes et de leurs évolutions sur 13 mois glissants. Véritable tableau de bord alliant roue dynamique et histogramme, cette fonction inscrit l’application du Crédit Agricole dans une véritable dimension de « coaching » 
  • Être accompagné dans la réalisation de ses projets est aujourd’hui possible. L’application offre au client la possibilité de suivre ses projets à court/moyen terme (ex : vacances, cadeaux, voiture) en lui rappelant chaque mois les opérations d’épargne qu’il doit réaliser pour atteindre les objectifs qu’il s’est fixés.
     
  • La gestion de budget implique de pouvoir à tout moment rééquilibrer ses comptes. C’est pourquoi, au sein même de l’application, le CA propose de réaliser directement des virements et d’utiliser leur compte de crédit renouvelable. 
  • Voulant toujours intégrer dans ses services les nouvelles technologies, le CA a prévu dans son application la localisation d’agences en réalité augmentée.
Pour télécharger gratuitement l’application « Mon Budget » sur un iPhone, tapez « Crédit Agricole » dans la zone de recherche de l’App Store. Et pour découvrir l’application et ses astuces, rendez-vous sur la page Facebook du Crédit Agricole (www.facebook.com/creditagricole) où une démonstration vidéo de l’application est en ligne.
Pour encore mieux répondre aux besoins de ses clients et continuer à faire évoluer « Mon budget » le Crédit agricole propose aux internautes de laisser leurs remarques et leurs suggestions d’amélioration sur l’espace dédié à l’application « Mon Budget » sur sa page Facebook.
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Source : http://www.news-banques.com

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Un service public informera sur les produits financiers

Cet outil dont l'utilisation sera gratuite devrait être en service la semaine prochaine, rapporte La Parisien.

Chose promis, chose due! Il y a quelques mois, la ministre de l'Economie avait promis de créer un service public d'information sur les produits bancaires et d'assurance. Et, à en croire Le Parisien, ce devrait être chose faite dès lundi.
Ainsi, une plateforme destinée à renforcer l'information et la sécurité des clients des banques et des compagnies d'assurances devrait être en service la semaine prochaine. Ce service gratuit et accessible par téléphone ou Internet devrait être baptisé Assurance banque épargne info service, ajoute le quotidien. L'ACP, l'autorité de contrôle prudentiel récemment créée, sera chargée de gérer ce nouveau service.
Cette plateforme permettra aux néophytes d'obtenir des informations concrètes et des renseignements pratiques dans les domaines financiers. Ainsi, les démarches et les relations contractuelles dans les domaines de l'assurance, de la banque, de l'épargne, du crédit ou des marchés financiers seront démystifiées par ce nouveau service public.
En effet, face à une finance de plus en plus complexe et à l'apparition de produits et de services toujours plus compliqués, il devient plus difficile de s'orienter dans la jungle des produits financiers. Cette nouvelle plateforme doit permettre ainsi de baliser les chemins de tous les consommateurs.

Source : Le Figaro

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Santé : «Ceux qui n’innovent pas seront pénalisés»

INTERVIEW - Malgré un début d’année difficile, les valeurs du secteur de la santé devraient repartir de l’avant au second semestre, dopées par l’innovation. Rudi van den Eynde, gérant chez Dexia AM, recommande les valeurs biotechnologiques.
lefigaro.fr/jdf.com - Les valeurs de la santé souffrent en Bourse depuis le début de l’année. Peut-on encore les considérer comme des valeurs défensives ?
Rudi Van den Eynde - Elles affichent en effet des performances clairement décevantes, mais pas au point qu’il faudrait remettre en cause leur profil défensif. Elles ont surperformé d’autres secteurs défensifs comme les télécoms. Les mauvaises performances du secteur santé sont dues plus à un contexte macroéconomique et surtout boursier dégradé qu’à de mauvais résultats des entreprises du secteur.
Les sociétés ont au contraire réalisé des bénéfices encourageants au premier trimestre et réitéreront ces performances au deuxième trimestre. Les marchés craignent en réalité que les dettes des différents pays européens entraînent une baisse des remboursements des médicaments. Et comme les investisseurs avaient des positions importantes sur les valeurs de la santé, les titres ont fortement baissé. Mais cette réaction n’est que momentanée.
Maintenant, le côté positif de la crise grecque pour les valeurs de la santé, c’est la hausse du dollar, qui a dopé leurs chiffres d’affaires, étant donné que la majorité de ces entreprises sont présentes aux Etats-Unis.
Les marchés considèrent que la réforme de la santé voulue par Barack Obama ne sera pas si pénalisante que cela pour le secteur ? Qu’en pensez-vous ?
L’impact devrait être globalement positif. Certes, les géants de la pharmacie vont devoir payer une surtaxe au cours de prochaines années, proportionnelle à leurs parts de marché. Mais l’impact sur le chiffre d’affaires ne devrait pas dépasser les 2% à 3% par an. Ce qui est raisonnable pour une industrie dont les marges sont proches des 30% et dont le chiffre d’affaires annuel global est de 750 milliards de dollars.
Il sera d’autant plus négligeable que les ventes de l’industrie devraient grimper plus vite lors des prochaines années, du fait de l’arrivée de plus de 20 millions de nouveaux clients aujourd’hui dépourvus d’assurance-maladie.
GlaxoSmithKline s’est fait une habitude de partager publiquement ses savoirs. Pensez-vous que les autres sociétés devraient en faire autant ?
La crise mais surtout une pression populaire va sûrement obliger les sociétés à se montrer plus transparentes sur l’efficacité de leurs médicaments, ainsi que sur leurs effets secondaires. D’un autre côté, je pense qu’il est normal que les entreprises aient également le droit, pour des raisons concurrentielles, de moins communiquer sur les essais cliniques. L’idée est bonne mais son application doit être générale, aussi bien en Europe qu’aux États-Unis ou au Japon.
Le secteur des biotechnologies a été animé par les opérations de rapprochement. Sera-t-il encore à l’honneur au second semestre ?
Je le crois. D’ailleurs, si notre fonds Dexia Equities Biotechnology a enregistré une aussi bonne performance depuis le début de l’année, c’est parce que nous nous sommes focalisés sur les sociétés biotechnologiques innovantes. Il y a cinq ou dix ans, le secteur était prometteur mais assez coûteux. Aujourd’hui, bien que la pression sur les prix soit forte – surtout en Europe, de l’ordre de 4% à 5% - le secteur est beaucoup plus autonome et les valorisations sont historiquement basses. Surtout, il a l’avantage, contrairement aux pharmaciens, de ne pas souffrir de la concurrence des génériques.
Enfin, au niveau des fondamentaux, rien n’a changé. Le secteur reste soutenu par l’innovation des petites sociétés, qui est très recherchée par les sociétés plus développées. Nous devrions ainsi assister de plus en plus à des opérations de rachat de petites sociétés du secteur de type amical voire hostile. Les sociétés qui n’innoveront pas assez seront pénalisées encore plus dans le futur. Cela s’est déjà vu récemment avec des valeurs comme Sanofi-Aventis ou encore Pfizer.
La croissance des marchés émergents suffira-t-elle à compenser la réduction des marges des marchés développés ?
Les pays émergents constituent des vrais relais de croissance, mais ils ne sont pas encore prêts à compenser la réduction des marges des marchés développés. Les marchés émergents représentent entre 10% et 20% du chiffre d’affaires des grandes sociétés du secteur de la santé. Le prix des médicaments y est en général plus bas que dans les pays développés, ainsi que les coûts. Il faut savoir, par exemple, qu’un délégué commercial coûte environ 200.000 euros par an dans les pays développés contre environ 70.000 euros par an en Chine. Du coup, les marges ne sont pas beaucoup plus basses dans les pays émergents que dans les pays développés. La croissance moyenne dans les pays émergents pour le secteur de la santé devrait être comprise entre 10% et 15%, et environ 25% pour la Chine.
Maintenant, dans ce pays, le secteur souffre d’un système de remboursement encore trop fragmenté. Par ailleurs, l’économie chinoise dépend trop des investissements. La consommation doit prendre le relais. L’impact du plan de santé de la Chine devrait se faire sentir au deuxième semestre de cette année.
Pensez-vous que les génériqueurs peuvent concurrencer à terme les biotechnologiques ? (lire la suite sur Le Figaro...)

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