Les prix des services facturés par les banques à leurs clients sont
largement moins élevés dans les banques en ligne que dans les
établissements avec guichets traditionnels, selon le mensuel Capital
qui publie un palmarès des 111 principales banques installées en France.
"Malgré la crise financière, les banques n'ont pas, ou pas encore, fait
flamber leurs tarifs", résume le mensuel dans son numéro d'octobre à
paraître jeudi.
Boursorama, Monabanq, Coopabanque, Groupama Banque et Axa banque: cinq
banques en ligne trustent les 5 premières places du classement annuel
établi par le mensuel qui a comparé les tarifs des services pratiqués
par les établissements bancaires.
Des progrès restent toutefois à faire concernant le service des
cyberbanquiers (accueil téléphonique, qualité des conseils...),
souligne Capital.
Le magazine, qui a calculé le montant facturé sur un an pour les
opérations courantes de quatre clients type (standard et haut de gamme,
avec ou sans accès internet pour gérer ses comptes), relève également
que les frais bancaires ont "diminué globalement de 3%" en un an et que
les écarts d'une banque à l'autre sont "injustifiés".
Source : Le Figaro
http://banques-assurances.blogspot.com
Pour nous faire parvenir une information : contact@ikwpr.com
Les banques en ligne sont moins chères
Banques en ligne, le comparatif des coûts et services
Formules gratuites ou payantes, services supplémentaires facturés ou non, la tarification des services de banque en ligne reste très variable d'un établissement à l'autre. Le point sur les offres
Accès aux services : les banques passent au gratuit
La politique tarifaire des banques tend de plus en plus vers un accès gratuit aux services proposés sur Internet, y compris les opérations de gestion de compte.La consultation de l'état de compte est gratuite pour l'ensemble des banques ou comprise dans le forfait d'une convention de compte.
Virements : une tarification rarement payante
Les procédures de virement en ligne sont majoritairement gratuites entre les comptes d'un même client ou entre deux clients distincts, qu'ilsToutefois, quelques banques imposent des restrictions. Chez BNP Paribas, les virements vers un compte dans un autre établissement sont gratuits s'ils sont permanents mais payants pour les occasionnels. Chez AGF Banque et Société générale, la démarche est inverse. Les virements occasionnels sont gratuits, les permanents payants.
Suite du comparatif ... Source : L'internaute http://banques-assurances.blogspot.com Pour nous faire parvenir une information : contact@ikwpr.comL'Héritage en France
Lorsqu'une personne décède, s'ouvre sa succession. Le décès est le seul motif valable qui permet aux héritiers du défunt de toucher leur héritage.
Pour constater officiellement le décès et l'ouverture de la succession,
un acte de décès doit être réalisé. Celui-ci contient la date et
l'heure du décès, l'état civil du défunt et le dernier domicile où il a
habité. Il est important de connaître le lieu de ce dernier domicile
car c'est le lieu d'ouverture de la succession et c'est lui qui
déterminera les tribunaux compétents pour apporter un jugement lors de
conflits entre les héritiers. Cette règle s'applique pour les biens
mobiliers mais la transmission des biens immobiliers est soumise à la
loi du site où ils sont situés.
Pour pouvoir hériter, il faut remplir deux conditions cumulatives : il faut être vivant au moment où la personne décède, même si le décès de l'héritier intervient juste après celui du défunt. Et il ne faut pas que la loi ait déclaré la personne indigne pour avoir causé au défunt ou à sa mémoire des torts importants.
La meilleure manière d'organiser sa succession de son vivant afin de réduire au maximum les droits de mutation et pour soit avantager quelqu'un, un enfant, son conjoint ou un proche, soit pour organiser ses obsèques, c'est de rédiger un testament. Il existe trois sortes de testaments : le testament olographe, c'est à dire rédigé entièrement à la main par le défunt, le testament authentique rédigé par un notaire et en présence de témoins et signé par le testateur et le testament mystique qui est rarement utilisé.
Il est possible de léguer son patrimoine de plusieurs façons, en faisant une donation de son vivant ou bien un legs une fois décédé.
Si aucun testament n'est réalisé par le défunt, c'est alors la loi qui règle la succession. Dans ce cas seule la famille pourra lui succéder. Si le défunt n'a pas d'héritiers, alors c'est l'État qui héritera des biens. La loi a établi des degrés de parenté pour régler la succession et pour définir quels sont les héritiers prioritaires. En l'absence de testament, c'est la proximité des liens de sang qui définit la priorité au classement.
On distingue les enfants et leurs descendants (enfants, petits voire arrière-petits enfants); les ascendants privilégiés (parents du défunt); les collatéraux privilégiés que sont les frères et sœurs et les descendants en ligne directe; les ascendants ordinaires (grands-parents autres que les parents); les collatéraux ordinaires (oncles, tantes, cousins jusqu'au 6ème degré); le conjoint survivant.
Il est important de savoir que chaque ordre prime sur le suivant. Ce sont donc les enfants qui héritent en priorité puis les ascendants ou collatéraux privilégiés, les collatéraux ordinaires.
Dès lors qu'un ordre est représenté, donc s'il existe un héritier dans cet ordre, il succède et les héritiers appartenant aux ordres inférieurs sont exclus de la succession.
La fente successorale désigne la division du patrimoine du défunt en deux parties égales, une pour la branche paternelle et l'autre pour la branche maternelle. S'il n'y a aucun représentant dans l'une des branches pour hériter du défunt n'ayant pas de descendants ni d'ascendants directs, alors l'autre branche hérite de tout.
Les concubins, même s'ils sont reliés au défunt par un Pacte Solidaire de Solidarité (PACS), n'héritent pas l'un de l'autre. En revanche, depuis la loi de juin 2007 sur la réforme des droits de succession et de donation, il est maintenant possible de faire un don entre vifs à son partenaire de PACS dont les droits de donation seront calculés après avoir déduit un abattement qui est le même que celui pour les conjoints.
Le conjoint hérite dans tous les cas car une partie de l'héritage lui est réservé, mais il devra partager l'héritage avec les héritiers du défunt.
Source : http://fr.moneto.eu
Pour pouvoir hériter, il faut remplir deux conditions cumulatives : il faut être vivant au moment où la personne décède, même si le décès de l'héritier intervient juste après celui du défunt. Et il ne faut pas que la loi ait déclaré la personne indigne pour avoir causé au défunt ou à sa mémoire des torts importants.
La meilleure manière d'organiser sa succession de son vivant afin de réduire au maximum les droits de mutation et pour soit avantager quelqu'un, un enfant, son conjoint ou un proche, soit pour organiser ses obsèques, c'est de rédiger un testament. Il existe trois sortes de testaments : le testament olographe, c'est à dire rédigé entièrement à la main par le défunt, le testament authentique rédigé par un notaire et en présence de témoins et signé par le testateur et le testament mystique qui est rarement utilisé.
Il est possible de léguer son patrimoine de plusieurs façons, en faisant une donation de son vivant ou bien un legs une fois décédé.
Si aucun testament n'est réalisé par le défunt, c'est alors la loi qui règle la succession. Dans ce cas seule la famille pourra lui succéder. Si le défunt n'a pas d'héritiers, alors c'est l'État qui héritera des biens. La loi a établi des degrés de parenté pour régler la succession et pour définir quels sont les héritiers prioritaires. En l'absence de testament, c'est la proximité des liens de sang qui définit la priorité au classement.
On distingue les enfants et leurs descendants (enfants, petits voire arrière-petits enfants); les ascendants privilégiés (parents du défunt); les collatéraux privilégiés que sont les frères et sœurs et les descendants en ligne directe; les ascendants ordinaires (grands-parents autres que les parents); les collatéraux ordinaires (oncles, tantes, cousins jusqu'au 6ème degré); le conjoint survivant.
Il est important de savoir que chaque ordre prime sur le suivant. Ce sont donc les enfants qui héritent en priorité puis les ascendants ou collatéraux privilégiés, les collatéraux ordinaires.
Dès lors qu'un ordre est représenté, donc s'il existe un héritier dans cet ordre, il succède et les héritiers appartenant aux ordres inférieurs sont exclus de la succession.
La fente successorale désigne la division du patrimoine du défunt en deux parties égales, une pour la branche paternelle et l'autre pour la branche maternelle. S'il n'y a aucun représentant dans l'une des branches pour hériter du défunt n'ayant pas de descendants ni d'ascendants directs, alors l'autre branche hérite de tout.
Les concubins, même s'ils sont reliés au défunt par un Pacte Solidaire de Solidarité (PACS), n'héritent pas l'un de l'autre. En revanche, depuis la loi de juin 2007 sur la réforme des droits de succession et de donation, il est maintenant possible de faire un don entre vifs à son partenaire de PACS dont les droits de donation seront calculés après avoir déduit un abattement qui est le même que celui pour les conjoints.
Le conjoint hérite dans tous les cas car une partie de l'héritage lui est réservé, mais il devra partager l'héritage avec les héritiers du défunt.
Source : http://fr.moneto.eu
http://banques-assurances.blogspot.com Pour nous faire parvenir une information : contact@ikwpr.com
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