Monabanq.com redonne du crédit à la banque en ligne

Signature électronique et « visio rendez-vous », transmission de documents en PDF sont les principaux atouts de ce nouvel acteur de la banque en ligne.

Vous avez entre 25 et 45 ans ? Vous êtes actif, internaute et fier de l'être (mais pas trop quand même) ? Vous disposez d'une webcam et vous effectuez régulièrement des transactions sur Internet ? Vous ne le savez peut-être pas encore, mais vous êtes dans le coeur de cible de Monabanq.com. Cet établissement bancaire de taille moyenne (200 000 clients actifs), qui compte parmi ses actionnaires le groupe 3 Suisses International et le spécialiste de crédit Cetelem, a décidé de s'imposer sur le marché ô combien difficile de la banque en ligne. Car, après les échecs cuisants il y a quelques années de Zebank (Bernard Arnault) et d'Egg (Prudential), l'heure n'est plus aux stratégies de conquête démesurée mais plutôt au développement pragmatique.
Pour convaincre ses futurs clients, Monabanq.com a donc opté pour la proximité et l'innovation technologique. Dès sa première visite sur le site, l'internaute est invité, par la lecture d'une vidéo, à découvrir de quoi est faite son agence bancaire virtuelle. Pour un peu, on se croirait dans Second Life. Mais les nouveautés du site mis en ligne la semaine dernière concernent avant tout trois autres points : le « visio rendez-vous », la signature électronique et le dispositif Monascan.
Le « visio rendez-vous », présenté comme une première mondiale, est une idée de bon sens qui accompagne les nouveaux usages de l'internaute. « Nous sommes partis du constat que deux tiers de nos clients disposaient déjà d'une webcam », explique le directeur général de Monabanq, Alain Colin. La suite est assez simple. Il s'agit pour le client-internaute de converser en vidéo et en ligne avec un conseiller bancaire personnel. Avec à la clé, des horaires très larges de consultation (de 8 heures à 22 heures en semaine et de 8 heures à 20 heures le samedi).
Concrètement, le rendez-vous est pris par e-mail. Un courrier de confirmation est envoyé et il ne reste plus alors au client qu'à cliquer sur le lien « Call me » pour être mis en relation à l'heure dite avec son interlocuteur. Petit défaut du système pour les puristes, l'absence de cryptage spécifique des données et d'une architecture de sécurité. Les rendez-vous se déroulant avec un logiciel comme Skype, Wengo, etc., qui n'ont pas été développés par la banque.
Signature électronique et bordereau numérique Deuxième nouveauté : la signature électronique. Monabanq est l'un des premiers établissements bancaires à proposer ce type de prestation en ligne à des particuliers, même si son usage est réservé aux clients déjà titulaires d'un compte. L'ouverture d'un livret bancaire, par exemple, est réalisable en ligne de bout en bout, sans avoir à renvoyer aucun document papier par la Poste. Le contrat électronique remplace le contrat papier, la signature électronique ayant la même valeur légale qu'une signature manuscrite. La mise en oeuvre du dispositif a été confiée à Keynectis, l'un des tiers de confiance de référence du marché, qui a déjà pris en charge pour le compte du ministère des Finances en 2006 les quelque 6 millions de télédéclarations effectuées par les Français sur Internet.
Enfin, ouvert depuis quelques jours, Monascan offre aux clients de Monabanq.com la possibilité de scanner ou de transmettre au format PDF et en temps réel des pièces justificatives à son conseiller. En bonus, un « bordereau numérique » permet de faire créditer ses chèques instantanément avant de les envoyer par la Poste, en indiquant en ligne le montant et les références. Si l'on ajoute à cela le MonaCoffre, un coffre-fort numérique pour conserver ses documents électroniques les plus précieux, et des projets sur la téléphonie 3G, Monabanq.com et ses 200 conseillers basés à Wasquehal, dans le Nord, pourraient bien à terme se faire une place de choix sur ce marché aux côtés des acteurs déjà présents comme Axa Banque ou Boursorama.
Source : 01net

Crédit : Que penser des packs immobiliers ?

Une des dernières trouvailles des établissements de crédit est le PACK ! En effet, on l'a déjà dit les banques ne gagnent plus que très peu d'argent sur la marge des crédits du fait de la concurrence, de la volonté de fidéliser à tout prix… il faut donc bien qu'elle se "rattrape" ailleurs.Et c'est là où les conseillers interviennent pour vous faire comprendre qu'un lot de tout ce que vous avez besoin sera mieux qu'un simple crédit (plus vous achetez moins c'est cher ...!!!) Technique déjà connue dans le textile mais peut on comparer le textile aux crédits ? L'objectif ultime : vous fidéliser en souscrivant 8 offres alors que vous n'étiez venus que pour deux ou trois. Vous nous trouvez sûrement un peu trop critique et c'est vrai parce que nous ne sommes pas contre les Packs à une seule condition : La multitude d'offres doit générer une vraie économie par rapport à la souscription d'un crédit sec et donc vous devez pouvoir mesurer l'effort financier que réalise votre intermédiaire financier sous différentes formes possibles : Baisse du taux, réduction de l'assurance habitation, de l'assurance emprunteur, période de gratuité sur les service tels que l'alarme. Source : Guide du Credit

Livret A : le taux va grimper en février 2008

Depuis 2003, le taux du Livret A est fixé mécaniquement(et non plus politiquement) selon un savant calcul basé sur l'Euribor et l'inflation, deux indices en forte hausse en 2007.

Selon les estimations du journal les Echos, le taux du Livret A pourrait bien grimper à 3,50 voire même 3,75% au 1e février prochain atteignant ainsi son niveau de rémunération maximum depuis 1996. Si l'estimation des Echos n'est pour l'instant pas confirmée, il est acquis toutefois que la hausse aura bien lieu selon le Ministère de l'Economie et des Finances.
Deux indices en hausse Cette hausse s'explique par le fait que depuis 2003, le taux du Livret A est calculé automatiquement sur la base d’une moyenne entre l’inflation, hors tabac (en hausse de 1.9% sur l'année d'octobre à octobre), et les taux d’intérêt à court terme Euribor actuellement à 4.88%. Cette moyenne est ensuite majorée de 0,25 point. Ce mécanisme classique permet tous les 1e août et les 1e février de chaque année de revoir la rémunération à la hausse ou à la baisse selon les cas.
Une bonne nouvelle pour les Français Sachant que l'indice du Livret A profite bien entendu aux 46 millions de détenteurs du fameux livret mais aussi par ricochet au Livret bleu, distribué par le Crédit Mutuel, le livret de développement durable, autrefois appelé Codevi, et le livret d’épargne populaire dont les taux s'alignent sur le fameux taux du Livret A. Si la hausse à 3,50% ou 3,75% est confirmée en février, le Livret A deviendra un placement très rentable pour tous au regard de sa souplesse (les fonds sont disponibles à tout moment) et de sa rémunération défiscalisée. De quoi faire de l'ombre aux contrats d'assurance vie plus contraignant à vivre qui ne rapportent en moyenne selon les Echos que 4,1% avant impôts.

Que faire en cas d’accident ?

Avec la croissance du trafic, les risques d’être témoin direct d’un accident de la route augmentent. Que faire face à un accident ? quel comportement adopter ? Y-a-t-il des choses à ne pas faire ? Autant de questions qui méritent d’être expliquées simplement. Une règle à retenir : protéger, alerter et secourir !
Vous conducteur… Vous avez vu en détail l’accident qui vient de se produire devant vous ou vous êtes impliqué dans un accident. Votre premier réflexe doit être de vous arrêter, de ne pas paniquer et d’apprécier la situation dans son ensemble. Attention : si vous êtes impliqué dans un accident, le fait de ne pas vous arrêter constituera un délit de fuite passible d’une amende de 30 000 € et de 2 ans d’emprisonnement. Autant assumer ses actes. D’autant plus que les conséquences d’un délit de fuite aggraveront sensiblement la ou les sanctions prononcées à votre encontre. 1ère étape : Protéger les lieux de l’accident Il s'agit d'éviter le sur-accident.- Veillez à ce que les autres témoins ou les personnes valides se mettent à l’abri (derrière la glissière de sécurité sur l’autoroute) ou sur le bas côté de la route.- Si vous avez un triangle de pré-signalisation, placez le environ 200 mètres avant l’accident.- Garez votre véhicule correctement : ne le laissez pas en plein milieu de la chaussée : allumez vos feux de détresse.- Coupez le contact du ou des véhicule(s) accidentés- Veillez à ce que personne ne fume sur la zone d’accident. Le risque incendie n’est jamais nul. 2ème étape : Alerter Rappelez vous l’équation suivante : plus les secours arrivent vite, plus il sera possible de sauver des vies. Donc il faut donner l’alerte :- Si vous êtes sur l’autoroute, utilisez en priorité les bornes d’appel d’urgence : l’information arrivera directement aux services compétents qui localiseront ainsi très rapidement le lieu précis de l’accident. Cette solution d’appel est à privilégier au téléphone portable vers les pompiers, qui ont souvent du mal à définir le lieu d’intervention.- Si vous êtes hors du réseau autoroutier, utilisez votre téléphone portable et composez le 112. Il s’agit d’un numéro d'appel d'urgence européen que vous pouvez utiliser dans les 15 Etats membres de l'Union européenne, en cas d'accident, d'agression, ou dans toute autre situation de détresse.
A titre indicatif, voici quelques numéros à retenir :
- 112, numéro d’urgence européen
- 15, SAMU, urgences médicales
- 18, pompiers
- 17, police Votre message doit être simple et clair :
- Lieu aussi précis que possible de l’accident,
- Nombre et type de véhicules impliqués (si un véhicule contenant des matières dangereuses est impliqué , communiquez les symboles de danger et les numéros figurant sur les plaques orange),
- Nombre et état des victimes,
- Position des blessés : intérieur ou extérieur des véhicules (personnes prisonnières du ou des véhicules). 3ème étape : Secourir Voici quelques grands principes à respecter :
- Ne déplacez jamais un blessé, sauf en cas d’extrême urgence : risque de noyade, incendie.
- N’enlevez jamais le casque d’un motard suite à un accident.
- N’essayez pas d’enlever les vêtements d’une personne brûlée.
- Ne donnez jamais à boire à un blessé.
Les premiers gestes peuvent sauver en attendant les secours. Si vous êtes titulaire d’un Brevet de secourisme, commencez les gestes de premiers secours si besoin est, (placement des éventuels blessés en position latérale de sécurité, massage cardiaque, arrêt d’une hémorragie).Si vous n’êtes pas titulaire du Brevet de secourisme, contentez-vous de couvrir les blessés et de leur apporter un réconfort moral avant l’arrivée des secours. Centaure montre, démontre et fait vivre…
Lors de nos stages, nous accordons une place prépondérante à la signalisation des manœuvres ou du danger. C’est en répétant des gestes simples et élémentaires, comme allumer ses feux de détresse pour signaler aux autres usagers la présence d’un bouchon par exemple que nous développons notre citoyenneté routière. Faire le premier P.A.S. (protéger, alerter secourir) est une démarche civique. Pensez-y !
(Attention, cet article est avant tout informatif : L'ordre des actions peut être modifié selon la gravité de l'accident)
Source : Centaure
Le n°1 de la formation à la sécurité routière sur sites protégés. Stage à la conduite automobile, stage permis à points. 11 centres en France.

Les astuces d'un contrat d'assurance-vie

1. Faites une clause bénéficiaire sous conditions
Objectif : verrouiller l’utilisation du capital décès
La clause bénéficiaire est le point clef d’une assurance-vie. On y désigne la ou les personnes qui percevront la valeur du contrat à son décès. Mais, subtilement, on peut assortir l’octroi de ces capitaux à certaines conditions. Par exemple, on pourra prévoir leur conversion en rente viagère ou leur utilisation pour l’acquisition d’un bien immobilier. Autre exemple plus fréquent, notamment lorsqu’un enfant est concerné : rendre ce capital disponible seulement à compter de ses vingt ou vingt-cinq ans. De quoi rassurer bien des parents ou grands-parents, désireux de transmettre à leurs descendants. Mais qui va vérifier l’application de ces conditions ? Pas l’assureur, mais le notaire ! Dans ce cas, mieux vaut ne pas opter pour la clause bénéficiaire type du contrat, mais préciser que la clause est déposée chez un notaire. Vous éviterez en outre qu’elle puisse être "acceptée" par le bénéficiaire, ce qui vous laisse toute latitude pour la modifier.
2. Prenez date pour vos bénéficiaires
Objectif : leur offrir un réceptacle pour les capitaux décès
Vous venez de souscrire une assurance-vie en y désignant un ou plusieurs bénéficiaires. D’ordinaire, il est de règle de ne pas les informer, mais dans la réalité, le conjoint, voire les enfants, connaissent souvent l’existence des contrats dont ils sont bénéficiaires désignés. Autant donc leur ouvrir – ou leur faire ouvrir – simultanément un contrat à leur nom. Ainsi, au jour de la perception des capitaux décès, le bénéficiaire disposera, selon toute vraisemblance, d’un réceptacle défiscalisé. Car c’est la date d’ouverture du contrat qui détermine la fiscalité.Sinon, au moment du décès du souscripteur, les bénéficiaires ouvrent souvent un contrat avec le capital reçu. S’ils veulent rapidement faire des retraits, ils se trouvent alors fiscalisés sur les gains à 35% avant quatre ans ou 15% entre quatre et huit ans. Plus, sur les multisupports, les 11% de prélèvements sociaux. Si le contrat est ancien, ils pourront y verser le capital décès et bénéficier d’une fiscalité plus avantageuse. Après huit ans, les gains sont seulement taxés à 7,5% après un abattement de 4600 euros pour un célibataire et de 9 200 euros pour un couple. Cette astuce ne mobilise pas des capitaux importants, car certains bons contrats du marché s’ouvrent avec 100 euros, voire moins.
3. Ajoutez les intérêts à vos revenus
Objectif : alléger la note fiscale des retraits les premières années
Lors d’un retrait partiel ou total sur un contrat d’assurance-vie, vous avez le choix entre intégrer les intérêts à votre déclaration de revenus ou opter pour le prélèvement libératoire, directement effectué par l’assureur. Le choix sera fonction de votre taux marginal d’imposition. Si ce dernier est inférieur à celui du prélèvement libératoire, optez pour l’intégration à vos revenus. Tel est le cas pour les retraits effectués avant quatre ans dès lors que votre revenu imposable par part est inférieur à 23 888 euros. Un chiffre qui tombe à 8 382 euros par part après quatre ans… Bon à savoir :si les intérêts du retrait sont intégrés à la déclaration d’impôt, il est possible l’année suivante de soustraire de vos revenus imposables la part déductible de la cotisation sociale généralisée (CSG), soit 5,1% sur les 11% composant la ponction sociale totale. Une possibilité uniquement offerte aux détenteurs d’un contrat multisupport, où ces prélèvements sont dus lors des retraits.
4. Faites le bon choix entre retraits partiels ou rachats totaux
Objectif : éviter ou réduire l’impôt
Avant de faire un retrait, mieux vaut attendre huit ans. Vous bénéficiez d’un abattement sur les gains de 4 600 euros pour un célibataire ou de 9 200 euros pour un couple… renouvelable tous les ans. Partant de là, optez pour des retraits partiels annuels pour profiter plusieurs fois des abattements plutôt que pour un rachat total. Et si vous devez tout retirer et que la fin d’année est proche, faites donc un premier retrait avant le 31 décembre, un autre en début d’année. Pour savoir combien récupérer après huit ans sans payer d’impôts, appliquez la formule : abattement x valeur du contrat à la date du retrait/total des intérêts acquis. En revanche, après 70 ans, les retraits partiels nuisent à un objectif de transmission. Après cet âge, l’assiette taxable au décès est égale à l’ensemble des versements effectués sur les contrats transmis minorés d’un abattement de 30 500 euros. En effectuant des retraits partiels, l’épargnant ne va pas diminuer cette assiette. Exemple: un assuré de plus de 70 ans verse 100 000 euros en ouvrant quatre contrats à 25 000 euros. Ils en valent 40 000 dix ans plus tard. S’il fait des retraits partiels sur ces contrats pour un montant global de 40 000 euros, l’assiette taxable pour les bénéficiaires sera de 69 500 (100 000 euros versés moins l’abattement de 30 500). En revanche, si l’assuré procède au rachat total d’un des contrats pour disposer de cette même somme, il n’aura plus que trois contrats, l’assiette taxable tombera à 44 500 euros (75 000 euros versés moins l’abattement) et les bénéficiaires payeront moins d’impôt.
5. Refusez le bénéfice du contrat au profit d'un autre bénéficiaire
Objectif : permettre aux bénéficiaires suivants de récupérer les capitaux en franchise d'impot.
Tout bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie peut se désister et laisser le capital au(x) bénéficiaire(s) suivant(s). Il s’agit alors de renoncer au bénéfice du contrat. Cette possibilité présente un double intérêt. C’est tout d’abord un excellent moyen pour un bénéficiaire qui n’est pas dans le besoin au moment du décès du souscripteur, par exemple le conjoint, de laisser les capitaux aux bénéficiaires suivants, en particulier les enfants, s’ils en ont davantage l’utilité. Il n’y a là aucun risque de requalification en donation déguisée, plusieurs réponses ministérielles l’ont attesté. L’autre avantage de la renonciation est fiscal. Quand on est bénéficiaire de plusieurs contrats d’un même assuré, on peut renoncer à l’un pour éviter de payer des droits trop élevés en cas de dépassement des abattements. Le(s) second(s) bénéficiaire(s) percevant le capital va, lui, profiter des avantages fiscaux de l’assurance-vie comme s’il avait été premier bénéficiaire. En pratique, il suffit d’envoyer une lettre avec accusé de réception à la compagnie d’assurances, dans laquelle le bénéficiaire exprime simplement qu’il renonce au contrat. A noter: la renonciation au capital d’un contrat ne peut être partielle. Et cette décision n’est pas non plus liée à la renonciation d’une succession.
6. Eviter toute contestation dans le cas où vous n'êtes pas un héritier réservataire
En premier lieu, le contrat peut être remis en cause par les héritiers réservataires, si le montant des primes versées par le souscripteur est manifestement excessif. Tel sera le cas, si les sommes investies apparaissent disproportionnées aux revenus et au patrimoine du défunt. Le risque de remise en cause est encore plus grand lorsque les versements sur le contrat d’assurance-vie ont eu lieu alors que le souscripteur était très âgé ou malade. Lorsque les primes sont regardées comme excessives, l’excédent est réintégré à la succession. Soyez raisonnable pour ne pas risquer des recours possibles.Les héritiers peuvent également prétendre que le contrat d’assurance-vie cache, en réalité, un simple contrat de capitalisation (voir le dossier « la fiscalité de l'assurance-vie »). L’effet ici est encore plus radical puisque, si les héritiers obtiennent gain de cause, c’est la totalité du capital qui retombe dans la succession. C’est ce qui s’était passé dans une affaire désormais célèbre, l’affaire Leroux. La Cour de cassation avait en effet requalifié en contrat de capitalisation un contrat d’assurance-vie souscrit par une personne âgée peu avant qu’elle ne décède. Cet arrêt du 18 juillet 2000 de la Cour suprême avait déclenché un véritable séisme dans le monde des assureurs qui craignaient de voir remis en cause le fondement même du contrat d’assurance-vie.Depuis, la Cour de cassation s’est attachée à mieux respecter le périmètre des contrats d’assurance-vie tandis que les assureurs, de leur côté, prenaient leurs précautions pour éviter que leurs contrats ne soient regardés comme une simple opération d’épargne. Le risque de requalification semble donc aujourd’hui s’être éloigné.
7. Astuce pour retrouver un contrat égaré si vous êtes le bénéficiaire
Si vous pensez être bénéficiaire d’un contrat, mais sans savoir auprès de quelle compagnie d’assurance réclamer, vous pouvez, depuis le 1er mai, en avoir très vite le cœur net. Il suffit d’écrire à Agira, un organisme chargé de transmettre votre demande aux assureurs, mutuelles et autres institutions de prévoyance dans un délai de quinze jours. Ces derniers ont un mois pour fouiller leurs archives et vous avertir s’ils retrouvent le contrat vous concernant. C’est gratuit, mais vous devez fournir avec votre demande l’identité, l’adresse, les date et lieu de naissance du souscripteur présumé, un certificat attestant de son décès ainsi que vos coordonnées.Agira, Recherche des bénéficiaires en cas de décès, 1, rue Jules Lefebvre, 75 431 Paris Cedex 09.
8. Inscrivez l'adresse du bénéficiaire sur votre contrat si vous êtes le souscripteur
Désormais, s’ils ont connaissance du décès du souscripteur, ils sont tenus d’écrire spontanément au bénéficiaire pour lui signaler l’existence du contrat dont le capital lui revient. Mais, bien sûr, cette obligation ne vaut que s’ils disposent de l’adresse de l’intéressé ! Avis donc aux souscripteurs : communiquez les coordonnées de vos bénéficiaires à votre assureur pour qu’il puisse les alerter le cas échéant
9. Garder l'exemplaire original du contrat en lieu sûr et ne l'égarez pas !
Mais ne croyez pas qu’il suffit d’être bénéficiaire et d’avoir retrouvé le contrat pour recevoir en quelques jours le capital attendu. Il faut souvent compter quelques semaines et, parfois même, plusieurs mois de patience. L’assureur a tout son temps : le code des assurances ne lui impose aucun délai minimal. Les conditions générales du contrat, elles, peuvent en prévoir un (souvent un à deux mois). Mais il ne court qu’à compter du moment où le dossier de demande du bénéficiaire est complet. Et c’est là que tout se complique : les assureurs demandent des justificatifs (de votre parenté avec le défunt, de votre identité, etc.) et, en particulier, l’exemplaire original des conditions particulières du contrat, remis lors de la souscription. Il reste donc à espérer que le souscripteur l’ait conservé et qu’il soit facile à récupérer. Sinon, il faut négocier avec l’assureur pour qu’il accepte de s’en passer. Souscripteurs, pour faciliter le travail de vos bénéficiaires, conservez soigneusement ce document.
10. Faire une clause bénéficiaire demembrée
Si vous souhaitez protégez votre conjoint et donnez ensuite à vos enfants , désignez vos enfants nue-propriétaire et votre conjoint usufruitière.

Assurance panne Groupama

C’est peut-être un moyen de favoriser le renouvellement du parc, encouragé par la « prime à la casse » du Grenelle de l’Environnement : les assurés de " Groupama " qui revendent leur véhicule de moins de 7 ans à un particulier font bénéficier ce dernier, gratuitement, d’une garantie « pannes mécaniques ». Elle couvre les frais de réparation pendant les six mois qui suivent l’acquisition, et pendant un an si l’acquéreur s’assure à son tour chez Groupama. Source : auto-moto.com Lien : Groupama.fr

Comment fonctionne la conduite accompagnée ?

L'inscription se fait dès 16 ans dans les auto-écoles. Le jeune conducteur reçoit 20 heures de cours classiques en auto-école et reçoit une attestation de fin de formation initiale. Celle-ci lui permet de conduire avec son accompagnateur qui devra être agé de plus de 28 ans et titulaire d'un permis B depuis plus de 3 ans. Après 1000 km et 3000 km, élève et accompagnateur vont à un rendez-vous pédagogique à l'auto-école. A 18 ans révolus, l'élève peut passer l'examen du permis de conduire et, s'il le réussit (77% de réussite contre 50% par la voie classique), obtient une attestation de fin de conduite accompagnée.

Banque et Information des consommateurs : les mini-guides bancaires

Cette collection de "mini-guides" à vocation pédagogique propose au grand public des informations concises et pratiques sur les produits et services bancaires dans un format maniable et facile à lire. Ces mini-guides sont diffusés via le Centre d’Information bancaire, les comités territoriaux de la FBF, les réseaux bancaires, les associations de consommateurs... Le rythme de parution est d’une dizaine de numéros par an.Retrouvez tous les repères pour mieux comprendre la banque sur http://www.lesclesdelabanque.com/ Ci-dessous 4 exemples de mini guides gratuits à télécharger : - Mini-Guide 27 - Le virement SEPA Ce guide, réalisé en partenariat avec le Comité national SEPA, explique ce que va changer le virement SEPA, à partir de quand on pourra l'utiliser, et comment il fonctionne. Date : 08/11/2007 MiniGuide 27 Le virement SEPA [100 ko] Source : FBF - Public : Tout public - - Mini-Guide Hors série - Envoyer de l'argent à l'étranger Pour envoyer de l'argent à une personne se trouvant à l'étranger, vous avez le choix entre différents moyens, plus ou moins sûrs, plus ou moins rapides, plus ou moins économiques... Pour faire le bon choix, il y a certaines choses qu'il vaut mieux savoir. Date : 18/06/2007 MiniGuide HS Envoyer de l’argent à l’étranger[100 ko] Source : FBF - Public : Tout public - - Mini-Guide n°26 - Le coût d'un crédit Que vous empruntiez pour une dépense courante ou pour un projet particulier, comme un investissement immobilier, vous souhaitez savoir combien votre crédit va vous coûter. La réponse à cette question vous permettra de comparer les offres de plusieurs établissements. Date : 26/04/2007 MiniGuide 26 Le coût d'un crédit [100 ko] Source : FBF - Public : Tout public - - Mini-guide 25 : La Convention AERAS (s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé) La FBF publie un mini-guide sur la convention AERAS. Cette convention, qui entre en vigueur en janvier 2007, vise à faciliter l'accès au crédit des personnes présentant un risque aggravé de santé. Elle remplace la convention Belorgey et comporte de nombreuses avancées. Date : 8/12/2006 MiniGuide 25 La Convention AERASMini-guide 25 - Version A4 imprimable [100 ko] Source : FBF - Public : Tout public - Source de l'article : Fédération bancaire française

Service à la personne : le 3211, un numéro unique d'information

Depuis mars 2007, l'agence nationale des services à la personne a mis en place un numéro d'accès aux renseignements : le 32.11, qui répond aux particuliers souhaitant trouver des services près de leur domicile. Ménage, repassage, garde d'enfants, soutien scolaire, cours de piano, téléassistance pour les personnes âgées et plus de services encore sont disponibles sur cet appel téléphonique facturé 0,12 euros TTC la minute. L'Association des Enseignes de Services à la personnes : les enseignes fondatrices Accor Services (Bien Etre à la Carte / Bien Etre Assistance) ; CNP Services à la Personne / Filassistance Services ; Domiserve + (Axa Assistance / Dexia Crédit Local) ; Fourmi Verte (Groupama / MSA / Familles rurales) ; France Domicile (UNA / FNMF / UNCCAS) ; Groupe Caisse d'Epargne, Services à la personne ; La Poste (Genius) ; Personia (ADMR / AG2R / Crédit Mutuel) ; Crédit Agricole - Services à la personne / LCL - Services à la personne

Vidéos assurance où l'art de rendre sympathique un sujet qui à priori de n'est pas forcément ...

Petit moment de décontaction avec ces quelques vidéos, véritables petites perles dans un monde de l'assurance qui est en train de changer ... La plupart drôles... très drôles... d'autres plus percutantes voire dures...

Fourmi Verte, services à la personne

Les services à la personne de Fourmi Verte pour faciliter la vie : garde d'enfants, soutien scolaire, ménage, jardinage, aide aux seniors...
On imagine assez peu le nombre de services proposés par les sites de "services à la personne". nous avons sélectionné "Fourmi Verte" pour le nombre de ces services, la qualité de la prestation et le coût puisque , pour l'instant, la mise en relation en gratuite ...
- Services à la famille . Garde d'enfants à domicile et hors du domicile : crèche jardin d'enfant halte-garderie garderie préscolaire assistante maternelle agréée . Cours à domicile : soutien scolaire et cours à domicile assistance informatique et Internet assistance administrative
- Services à la maison . Ménage : entretien de la maison et travaux ménagers collecte et livraison de linge repassé . Entretien de la maison : petits travaux de jardinage petit bricolage gardiennage et surveillance temporaire des résidences . Alimentation : préparation des repas à domicile livraison de repas ou de courses à domicile
- Services aux personnes âgées . A leur domicile : assistance aux personnes âgées (sauf actes médicaux) garde malade . Dans leurs déplacements : aide à la mobilité et transport des personnes accompagnement dans les promenades et les actes de la vie courante . Pour les personnes dépendantes : conduite du véhicule personnel soins esthétiques à domicile soins et promenades d'animaux domestiques . Alimentation : préparation des repas à domicile livraison de repas ou de courses à domicile
- Services aux personnes handicapées . A leur domicile : assistance aux personnes handicapées garde malade . Dans leurs déplacements : aide à la mobilité et transport des personnes accompagnement dans les promenades et les actes de la vie courante
. Pour les personnes dépendantes : conduite du véhicule personnel soins esthétiques à domicile soins et promenades d'animaux domestiques . Alimentation : préparation des repas à domicile livraison de repas ou de courses à domicile
Source : Fourmi Verte

Contrat protection juridique : chiffres clés

Vous trouverez ci-dessous quelques chiffres significatifs qui concerne la relation entre les Français, la justice et la protection juridique : 21% des personnes interrogées sont allés devant la justice (21% pour un divorce, 15% pour un litige avec un employeur, 10% poour un litige avec le voisinage…)Source : Etude TNS-SOFRES 71% des personnes interrogées ne savent à qui s'adresser pour être informées de leurs droitsSource : Etude TNS-SOFRES 91% des personnes interrogées pensent que les français sont de plus en plus individualistes.Source : Etude TNS-SOFRES 50% des personnes interrogées ont le sentiment de ne plus être protégés en FranceSource : Etude TNS-SOFRES 64% des personnes interrogées pensent que le système judiciaire français ne facilite pas l'accès à la justiceSource : Etude TNS-SOFRES 58% des personnes interrogées font confiance aux administrations pour faire respecter leurs droitsSource : Etude TNS-SOFRES 96% des personnes interrogées pensent que la justice française est trop lenteSource : Etude TNS-SOFRES 79% des personnes interrogées pensent que la protection juridique va permettre aux français de défendre leurs droits Source : Etude TNS-SOFRES 81% des personnes interrogées pensent qu'intenter une action en justice en France coûte cherSource : Etude TNS-SOFRES 45% des personnes interrogées ont dejà fait appel à un avocat ou à un juristeSource : Etude TNS-SOFRES 78% des personnes interrogées se sentent de plus en plus vulnérablesSource : Etude TNS-SOFRES 82% des personnes interrogées pensent que les rapports entre les gens sont de plus en plus dursSource : Etude TNS-SOFRES 92% des personnes interrogées pensent que le système judiciaire français est compliquéSource : Etude TNS-SOFRES 79% des personnes interrogées pensent que les français font de plus en plus appel à la justice pour régler leurs conflitsSource : Etude TNS-SOFRES 70% des personnes interrogées pensent qu'en France, on ne favorise pas assez le règlement amiable des litigesSource : Etude TNS-SOFRES Source : Groupama protection juridique

Résilier son assurance, c’est le moment !

Près de la moitié des contrats d’assurances sont tacitement reconduits au 31 décembre. Pour profiter de tarifs plus attractifs chez la concurrence, il faut prévenir son assurance avant le 31 octobre. Première source de mécontentement contre les compagnies d’assurances, la reconduction automatique des contrats gêne souvent les particuliers. «Les consommateurs aimeraient bien faire un comparatif auprès de la concurrence avant de signer de nouveau avec leur assureur. Mais le plus souvent, ils oublient de résilier leur contrat dans les délais et ne changent pas de compagnie,» explique Olivier Brisac, directeur des opérations chez Assurland, un site de comparateur d’assurances. Faire des économies. Pourtant, faire jouer la concurrence peut révéler de grandes disparités entre votre prime actuelle et celle que vous propose une autre compagnie. «En restant plusieurs années de suite chez le même assureur, les particuliers se privent de substantielles économies, estime Olivier Brisac. En quatre ans par exemple, un profil de conducteur évolue considérablement et les tarifs proposés par les autres assureurs peuvent devenir plus intéressants que celui que l’on paye.» C’est aussi la bonne occasion pour vérifier que son contrat couvre bien toutes les garanties dont on a besoin. Par exemple, il est important de s’assurer que son assurance habitation protège toujours l’ensemble de ses biens (bijoux, argenterie, œuvres d’art), particulièrement ceux acquis après la signature du contrat. Comment résilier ? Il suffit d’envoyer une demande de résiliation par lettre recommandée avec accusé de réception. Pour près de la moitié des assurés, la date d’échéance des contrats est fixée au 31 décembre. Dans ce cas, la lettre doit parvenir à l’assurance avant le 31 octobre pour être prise en compte. Si vous ratez cette opportunité de quitter votre assureur, il existe cependant d’autres façons de résilier : lors d’un changement de situation familiale ou avec un déménagement par exemple. Sinon, la loi Chatel de 2005, donne aux consommateurs une nouvelle possibilité. Les compagnies sont tenues d’envoyer un avis d’échéance pour informer du montant de la prime proposé pour l’année à venir. A compter de la date d’envoi de ce courrier, le particulier dispose de 20 jours pour mettre fin à son contrat. Source : Le figaro

Assurance auto : La fin des bonus-malus ?

Le « pay as you drive » va bientôt voir le jour dans notre beau pays. Les tarifs des assureurs pourraient dans quelques temps être fonction de votre véritable comportement au volant.
L’assurance auto est entrain de subir une véritable transformation. En effet, le tarif à l’usage verra bientôt le jour, il consiste à intégrer dans le véhicule de l’assuré, un boitier qui transmettra les heures et dates de déplacement, de position et de direction de l’automobile. Ainsi, chaque assuré obtiendra un tarif personnalisé. La facturation s’effectuera non seulement en fonction des horaires, mais aussi des itinéraires utilisés selon qu’ils sont à risque ou non. Il s’agit d’une innovation conséquente, puisque le bonus malus ne se contentait que de prendre en compte la fréquence des sinistres de l’assuré. Cependant, l’heure du bonus-malus n’a pas encore sonné, et il n’est pour l’instant pas question de supprimer ce régime ancré dans la législation française.
Source : Money Blog

Quand la FFSA se mobilise pour sauver les "15 / 19"

Après s’être mobilisée contre les dangers de l’alcool au volant, à travers les campagnes « Celui qui conduit, c’est celui qui ne boit pas » et la généralisation de « Capitaines de soirée », la FFSA, désireuse d’alerter les parents sur les dangers des cyclomoteurs, s’attaque désormais aux « détails qui tuent ». Depuis le 24 septembre 2007, retrouvez la campagne de sensiblilisation des parents d'adolescents en âge de conduire un cyclomoteur sur les dangers des deux-roues. www.le-detail-qui-tue.fr Le cyclomoteur* constitue l’un des principaux modes de déplacement des jeunes de 15 à 19 ans. Axe de liberté pour les adolescents mais source d'inquiétude pour les parents, le cyclomoteur fait croître de manière démesurée le nombre d'accidents dans cette tranche d’âge. En 2006, les jeunes représentent 51,4 % des tués avec des cyclomoteurs.* La prévention et la protection face à ce risque constitue donc un enjeu majeur pour diminuer les chiffres de l’accidentologie dans ce domaine. De nombreux accidents peuvent être évités ou avoir des conséquences moins importantes sous réserve de respecter des règles de base simples et efficaces. - Conduire un cyclomoteur en étant titulaire du Brevet de Sécurité Routière C'est la formation indispensable pour prendre la route - Porter un casque homologué attaché et une tenue vestimentaire adaptée C'est votre principale protection. Il en est de même pour le passager. - Transporter un passager dans des conditions satisfaisantes Pour votre sécurité et celle de votre passager, votre cyclomoteur doit être équipé d'un siège deux places avec poignée et repose pieds. Ne pas augmenter la puissance de votre engin Le débridage rend votre véhicule dangereux

Observatoire national interministériel de la sécurité routière Le bilan de l’accidentologie de l’année 2006

* Source : "Les grandes données de l’accidentologie 2006" / Observatoire national interministériel de sécurité routière.

Les assurances du crédit

Quand vous empruntez, les banques conditionnent l'obtention de votre crédit, à la souscription d'assurances qui varient en fonction de votre situation.
Vous êtes fonctionnaire titularisé ?
Vous êtes dispensé de l'assurance chômage !
Vous pratiquez un métier à hauts risques ou bien atteint d'une grave maladie ? Vous pouvez malgré tout emprunter grâce aux dispositions de la convention Aeras.
Enfin, pour tous, inutile d'essayer d'obtenir un crédit sans souscrire à une assurance décès-invalidité.
L'assurance chômage (perte d'emploi) L'assurance chômage, qui n'est pas obligatoire, mais fortement conseillée pour obtenir son crédit, prend en charge tout ou partie de vos mensualités si vous perdez votre emploi. Seules les personnes salariées (CDI) depuis 6 à 12 mois, suivant les compagnies, âgés de moins de 55 à 63 ans (là encore, suivant les assureurs) peuvent y prétendre. Les professions libérales et les travailleurs indépendants, les commerçants, les chefs d'entreprises, les exploitants agricoles n'y ont pas accès.
Bon à savoir : aujourd'hui, certaines compagnies assurent contre le chômage même les CDD. Elles s'adaptent au marché du travail !
Le coût de l'assurance chômage
Le coût de cette assurance varie. Certains assureurs calculent son coût en fonction des mensualités de remboursement (entre 3% et 5% par mois), d'autres en fonction du capital emprunté (entre 0,30% et 0,70% par an).
A noter : certains contrats remboursent une partie des primes versées (jusqu'à 50%) si vous n'avez jamais mis en œuvre cette garantie. Intéressant, non ?
Ce qu'il faut vérifier dans le contrat Le délai de carence :
L'assurance n'est pas opérationnelle tout de suite. Un délai de carence, 6 à 12 mois suivant les compagnies, court à compter de la signature du contrat de prêt. Durant cette période vous n'avez droit à aucune indemnité si vous perdez votre emploi. Pourquoi ? Pour éviter qu'un emprunteur en difficulté professionnelle ne souscrive cette assurance pour voir une partie de son crédit remboursé par la compagnie. Exemple : vous signez un prêt le 1er juin. Vous perdez votre emploi le 1er octobre. L'assurance ne vous couvrira pas.
Le délai de franchise :
Tous les établissements prévoient, à compter du jour où vous touchez les ASSEDIC, une période de 3 à 6 mois pendant laquelle vous ne serez pas indemnisé. C'est seulement après cette période, si vous n'avez pas retrouvé un emploi, que l'assurance remboursera vos mensualités.
La durée d'indemnisation :
Vous serez indemnisé entre 12 et 24 mois (suivant les compagnies) pour une même période de chômage. Bien évidemment, dès que vous retrouvez du travail, l'indemnisation cesse. Si vous retombez au chomage, après quelques mois d'activité (moins de six) vous n'aurez généralement pas à subir une nouvelle période de franchise.
L'indemnisation :
Peu de contrats payent la totalité de la mensualité. Le pourcentage varie de 50 à 100%, avec parfois un plafond (entre 800 € et 1 900 €), d'autres non.
Les exclusions : Enfin, vous ne pourrez prétendre à cette assurance si votre chômage résulte d'une démission, d'un licenciement pour faute grave ou d'un départ volontaire en pré-retraite. L' assurance décès invalidité Alors que l'assurance chômage n'est pas indispensable pour obtenir un prêt, l'assurance décès-invalidité (qui n'est pas non plus une obligation légale) est la règle pour toutes les compagnies d'assurance. En cas de décès ou d'invalidité, vos héritiers n'auront pas à payer le prêt. Comme pour l'assurance chômage, les banques vous proposeront leur compagnie d'assurance. Mais rien ne vous interdit de vous adresser à un autre assureur.
Le coût de l'assurance décès invalidité
Le coût de cette assurance varie beaucoup d'une compagnie à l'autre. Son mode de calcul aussi : certains assureurs calculent un pourcentage - entre 0,40 et 0,50% - sur le capital emprunté ; d'autres prennent une somme fixe – en général entre 3 et 4 euros – par tranche de 1.000 euros empruntés.
Bon à savoir : certaines compagnies proposent un pourcentage sur le capital restant dû, auquel cas le coût de l'assurance diminue au fur et à mesure que vous remboursez votre prêt. C'est souvent la meilleure formule.
Ce qu'il faut vérifier dans le contrat
Que paye l'assurance en cas de décès ou d'invalidité ? Cela varie d'une compagnie a une autre. Les tarifs indiqués valent, en principe, pour une assurance à 100%. Donc, si vous empruntez à deux, chacun est couvert à 50%. En cas de décès ou d'invalidité, votre conjoint devra donc continuer à rembourser une partie du prêt. Vous pouvez adapter ce pourcentage en fonction de vos revenus. Vous êtes par exemple assuré, l'un à hauteur de 30%, l'autre de 70%.
A noter : Vous pouvez aussi vous assurer sur deux têtes à 200%. Le coût de l'assurance est alors doublé mais en cas de décès de l'un, l'assurance paie la totalité du prêt.
Pour quels risques ?
Il faut également vérifier pour quels risques vous êtes couverts. Ainsi, l'assurance invalidité couvre en principe : l'invalidité absolue et définitive : si, durant le prêt, l'emprunteur ne peut définitivement plus exercer aucune activité lui procurant un revenu, l'assurance rembourse intégralement le crédit comme en cas de décès. l'incapacité de travail : si, à la suite d'une maladie ou d'un accident, l'emprunteur doit cesser son activité, l'assurance rembourse les échéances jusqu'à la reprise d'activité. Attention toutefois : entre le moment où l'emprunteur cesse de travailler et celui où l'assurance rembourse, s'écoule un délai de franchise, qui varie de 1 à 3 mois, selon les assureurs. A vérifier. Ce qui n'est pas couvert : Lisez les petites lignes, vous vérifierez ce qui est exclu de la garantie, comme, par exemple : le suicide de l'assuré, le décès à la suite d'une maladie contractée avant la souscription de l'assurance, les maladies psychiatriques, le décès du à la pratique d'activités dangereuses : course automobile, parachutisme, plongée, aviation, etc. Certaines compagnies assurent ces «risques spéciaux », moyennant une surprime.
La convention Aeras pour les personnes à risque aggravé de santé
Si votre état de santé ou les risques que vous prenez dans votre activité ne vous permettent pas de bénéficier de l'assurance décès-invalidité, votre dossier sera automatiquement examiné par le service médical de l'assureur et cinq semaines plus tard, vous aurez une réponse positive et chiffrée de la compagnie. Certes cette assurance a un coût (en cas de dificulté, contactez votre caisse d'assurance maladie) mais elle permet aux personnes qui ne pouvaient contracter un crédit d'emprunter à hauteur de 300.000 euros, dès lors qu'elles n'atteindront pas les 70 ans avant la fin de leur crédit.
Source : pap.fr

Banque et compte rémunéré : comparatif des comptes rémunérés

Compte remunéré : La législation française a officiellement autorisé la rémunération des dépôts à vue en France depuis le 16 mars 2005. La Caixabank a donc, le jour même, annoncé le lancement de son offre commerciale, ouvrant ainsi en France le marché du compte rémunéré.(Article mis à jour le 11/09/2007 ) Banque Barclays Taux de rémunération du compte : 10% pendant 3 mois, puis 3%

Compte rémunéré : Banque Barclays propose un compte courant rémunéré, au taux de 3% Brut, pour ses clients. Offre spéciale 10% brut pour les nouveaux clients, détails des offres et avis internautes... Banque Barclays
Groupama Banque (compte remunere Astrea Essentiel) Taux de rémunération du compte : 1.20% BrutGroupama Banque :compte rémunéré Astréa Essentiel : Groupama propose un compte de dépôt rémunéré au taux de 1.20% brut, dés le premier €uro. Détails... Groupama Banque (compte remunere Astrea Essentiel)
Boursorama Banque (Essentiel +) Taux de rémunération du compte : 1.50 % Brut Boursorama Essentiel + : une offre bancaire attractive, sans frais, carte Visa Premier incluse. Seule contrainte : il faut dépenser un minimum chaque mois avec sa carte bancaire... Boursorama Banque (Essentiel +)
Monabanq. (Epargne) Taux de rémunération du compte : 1% BrutMonabanq. Compte rémunéré : compte rémunéré dés le premier euro, lié à une carte bancaire avec offre de cash-back. Monabanq. (Epargne)
AGF (Evidence) Taux de rémunération du compte : 0.50 % à 2.50 % BrutAGF Evidence compte remunéré - AGF se lance sur le marché des comptes rémunérés en proposant son pack Evidence : compte rémunéré de 0.50 à 2.50% Brut. AGF (Evidence)
Axa Banque (compte Oligo) Taux de rémunération du compte : 1.00 % Brut Axa Banque présente son compte rémunéré : le compte Oligo. Une rémunération de 1% Brut sur les liquidités du compte courant, une remise de 20% du prix de la carte bancaire, une remise de 3% sur vos assurances Axa, en font une offre très attrayante... Axa Banque (compte Oligo)
Banque Privee Europeenne Taux de rémunération : 1.5% Brut (solde au dessus de 2 000 €)FranceTransactions se propose de vous guider dans le choix de votre compte rémunéré. La Banque Privée Européenne vous propose la Convention BPE : un compte chèques, une carte bancaire, la protection de vos moyens de paiement, un abonnement Internet. Tous les détails, avis et commentaires des internautes sur ce produit d’épargne. Banque Privee Europeenne
Caisse d'epargne (Satellis) Taux de rémunération du compte : de 0.50% à 1% Brut La caisse d’épargne propose un compte rémunéré, couplé avec un pack de service. La tarification n’est pas rendue publique sur le site Internet de la caisse d’épargne, puisqu’il faut prendre un rendez-vous dans une agence pour le connaître. A l’heure où nous parlons de la transparence des banques, bravo la caisse d’épargne... Caisse d'epargne (Satellis)
CaixaBank (Caixa +) Taux de rémunération du compte : 1.50 % Brut CaixaBank : les activités de Caixabank a été reprises par Boursorama banque.

Un litige vous oppose à votre assureur ?

Vous avez épuisé toutes les voies de recours interne. Avant d'engager un recours en justice, vous pouvez saisir le médiateur de votre société d'assurances. Selon la société, il s'agit soit d'un médiateur particulier, soit d'un médiateur nommé par chaque famille professionnelle (FFSA, GEMA). Comment le contacter Adressez-vous à votre société d'assurance, pour savoir si votre litige entre dans le cadre de la médiation, et le cas échéant comment saisir le médiateur compétent. Eventuellement, vous pouvez vous adresser à un organisme centralisateur, Médiation assurance, qui se chargera d'orienter votre demande vers le bon médiateur. Comment faire votre demande Vous devez la faire par lettre, en indiquant le nom de votre société et en décrivant la cause du litige. Adressez votre lettre au médiateur spécifique ou, le cas échéant, à Médiation assurance, de préférence par lettre recommandée avec accusé de réception. Délai de réponse du médiateur: - trois mois pour les sociétés affiliées à la FFSA, - six mois pour les sociétés affiliées au GEMA, Avis du médiateur Pour les sociétés affiliées au GEMA, l'avis du médiateur s'impose à la société. Les autres sociétés ne sont pas liées par l'avis du médiateur, et n'ont qu'une obligation morale de le respecter. Si le médiateur rend un avis négatif, ou si votre société ne suit pas un avis positif, vous pouvez porter l'affaire en justice. Délai de prescription Il est en principe de deux ans. C'est à dire que vous avez deux ans pour introduire un recours en justice à compter de l'événement qui est à l'origine du litige. A priori, la saisine du médiateur interrompt ce délai. Toutefois vous avez intérêt d'en demander confirmation à votre assureur, par lettre recommandée avec accusé de réception. Pour toute information, adressez-vous: - à votre assureur, - au Centre de documentation et d'information de l'assurance (CDIA). Pour les démarches, vous pouvez vous adresser à Médiation assurance. Pour plus d'information, les services à contacter : Centre de documentation et d'information de l'assurance (CDIA) 26, bd. Haussmann 75311 Paris Cedex 09 http://www.ffsa.fr Médiation assurance 1, rue Jules Lefebvre 75431 Paris cedex 09 BP Médiation Assurance Source : Service Public

Assurance-vie : vérifier la rédaction de la clause bénéficiaire

La loi du 21 août dite "paquet fiscal" change beaucoup de chose pour le particulier et notamment la fiscalité de l'assurance-vie. Du coup, il faut vérifier que les clauses bénéficiaires de vos contrats ne sont pas obsolètes.
Avec tous les changements initiés par la loi dite " paquet fiscal " en matière d'assurance-vie, il faut vérifier que les clauses bénéficiaire initialement inscrites trouvent encore une utilité. Celles qui comportent des références à des limites fiscales sont à revoir, notamment si le bénéficiaire est une personne nouvellement exonérée au titre de l'assurance-vie.
La fiscalité de l'assurance-vie varie désormais en fonction du bénéficiaire désigné
Le paquet fiscal a modifié la fiscalité de l'assurance-vie. Les conjoints, les partenaires liés par un PACS ou dans certains cas les frères et soeurs, sont désormais exonérés du paiement des taxes dues au titre de l'assurance-vie. Pour les autres bénéficiaires en revanche, rien ne change. La taxation reste de 20% au-delà d'un abattement de 152.500 euros par bénéficiaire pour les primes versées avant 70 ans. celles qui sont versées après 70 ans sont soumises aux droits de succession classiques au-delà d'un abattement de 30.500 euros.
Corriger les clauses comportant des références aux limites fiscales
Pour éviter que leur conjoint n'ai des droits à payer au titre de l'assurance-vie, un certain nombre de personnes ont choisi de rédiger leur clause bénéficiaire de la manière suivante : " mon conjoint à hauteur de 152.500 euros, mes héritiers au-delà ", ou pour les plus âgés, " mon conjoint à hauteur de 30.500 euros, mes héritiers au-delà ". Ces deux limites correspondent aux abattements applicables à l'assurance-vie (voir encadré). "Pour le conjoint, le partenaire lié par un PACS ou certains frères et soeurs, elles n'ont plus aucune signification : ils peuvent désormais recevoir beaucoup plus en totale exonération fiscale, d'où l'intérêt de modifier la clause bénéficiaire en conséquence", précise Xavier Blanc-Bernard, juriste patrimonial à la Banque Robeco.
Optimiser fiscalement le dispositif
Les règles fiscales de l'assurance-vie ont changé (voir ci-dessus) avec notamment l'exonération totale du conjoint ou partenaire de PACS. Il faut en tenir compte dans la rédaction de la clause bénéficiaire. Par ailleurs, et parallèlement, la fiscalité applicable aux successions a également évolué, avec l'exonération des conjoints ou pacsés, mais aussi le triplement de l'abattement en faveur des enfants (de 50.000 à 150.000 euros) par exemple. Dans ces conditions, il n'est pas inutile de modifier, si besoin est, la clause bénéficiaire pour prendre toutes ces nouveautés en compte et optimiser fiscalement le dispositif. Ce sont des modifications qui se font au cas par cas, en fonction des différentes situations patrimoniales. Parlez-en à votre conseil.
A lire également :
Source : Les Echos

Offert ! 1 an de cotisation sur le compte bancaire Astréa jeunes 16-25 ans chez Groupama Banque

Plus que quelques jours pour bénéficier de cette offre très intéressante pour les jeunes. Pour toute souscription du 15 juin au 30 septembre 2007, Groupama Banque offre un an de cotisation sur le compte Astréa réservé aux 16-25 ans. Détail de l'offre Dès 16 ans : - Un Compte bancaire. - La Carte de paiements et de retraits Visa Electron - Une assurance moyens de paiement Jeunes avec une garantie exclusive achats sur Internet - L’accès gratuit aux services de banque à distance 24h/24 Dès 18 ans : - Un chéquier (en option) - Une facilité de caisse jusqu’à 100 € sans frais (TEG 0%) - Une Carte Visa au choix : Electron ou Carte Bleue VISA à débit immédiat. Avec l’accord du Représentant légal Groupama Banque. Source : Budgetez.com

L'assurance habitation est-elle obligatoire ?

Oui. L'assurance multirisques habitation est obligatoire si vous êtes locataire d'un appartement ou d'une maison individuelle. Vous êtes responsable auprès du propriétaire des dommages que vous pourriez causer à l'appartement, à la maison ou à l'immeuble. Il faut que le propriétaire soit sûr d'être indemnisé en cas de dommage. Attention cependant, si vous êtes locataire d'un appartement meublé ou si vous occupez un logement de fonction, vous n'êtes pas soumis à cette obligation. En revanche, le propriétaire n'est pas obligé de souscrire une assurance pour son habitation. Il est néanmoins conseillé aux propriétaires de souscrire, au moins, une assurance incluant une garantie responsabilité civile, pour les dommages causés à des tiers.

Faut-il prendre une assurance dépendance ?

Le point en huit questions/réponses avec "Notre Temps"

Notre espérance de vie s'allonge, mais le risque de perdre notre autonomie un jour et à la charge de nos proches augmente lui aussi. Se faire aider à domicile ou payer une maison de retraite implique des coûts élevés.
Les assureurs ont perçu notre angoisse et mis sur le marché des contrats «assurance dépendance» pour y répondre.
Sont-ils intéressants ?
Faut-il les privilégier en complément ou à la place des produits d'épargne ?
• Combien ça coûte ?
Tout dépend de ce qui est garanti. Plus l'assureur couvre de risques plus le contrat sera cher. Par ailleurs, l'âge du souscripteur ainsi que la rente qu'il souhaite recevoir, influent sur le montant des cotisations à payer (celles-ci prennent souvent la forme de versements périodiques mais certains contrats prévoient un versement unique). À titre indicatif : en cas de souscription à 60 ans, pour s'assurer 500 € de rente, il faudra cotiser environ 30 € par mois, et 50 € pour une rente de 800 €. Pour une souscription à 70 ans, il faudra ajouter respectivement 15 et 20 € de plus aux montants précédents.Là aussi, il ne faut pas hésiter à prendre sa calculette et à faire jouer la concurrence.
• À quel âge faut-il adhérer ?
Plus vous adhérerez tard, plus il vous en coûtera. D'ailleurs passé un certain âge, variable selon les assureurs (de 69 à 79 ans), cela ne sera même plus possible. La plupart des assureurs prévoient une souscription entre 50 et 75 ans. En outre, vous devrez remplir un questionnaire de santé associé parfois à des examens complémentaires. Et pas question de tricher car toute fausse déclaration intentionnelle peut entraîner la nullité du contrat. Si vous êtes un profil dit «à risques», on peut vous refuser l'accès à un tel contrat où vous appliquer une surprime. Enfin, si une pathologie est déjà avérée lors de la souscription du contrat, la dépendance qu'elle pourrait entraîner n'est pas couverte. En somme, il faudrait envisager un tel contrat lorsque l'on est encore en pleine forme. Ce qui n'est pas facile.
• S'agit-il d'un produit d'épargne ?
En général non. Ce qui veut dire que si le risque couvert – en l'occurrence la dépendance – ne survient pas, vous aurez cotisé en pure perte. Il s'agit en effet de contrats à fonds perdus et non de produits d'épargne, ce qui psychologiquement est un frein à l'adhésion. Il existe toutefois sur le marché des formules mixtes, qui permettent par le biais de contrats d'épargne le versement d'une rente viagère majorée en cas de dépendance. Ces produits qui associent les avantages de l'assurance vie (placement chouchou des Français) et la couverture du risque dépendance pourraient arriver en force sur le marché pour séduire une clientèle plus nombreuse.
• Prendre un contrat d'assurance dépendance est-il utile alors qu'il existe l'APA (allocation personnalisée pour l'autonomie) ?
L'APA est certes une véritable protection contre le risque de perte d'autonomie. En effet, toute personne moyennement ou lourdement dépendante peut en bénéficier dès l'âge de 60 ans. Mais cette prestation ne couvre pas l'ensemble des dépenses supplémentaires auxquelles la personne doit faire face. Son montant va varier selon son degré de dépendance et ses revenus. Plus les ressources sont élevées, plus l'APA sera faible. Par conséquent, un contrat d'assurance dépendance peut trouver sa place. D'autant plus que les prestations qu'il offre peuvent se cumuler avec l'APA. Reste ensuite à savoir quel prix on est prêt à payer pour s'offrir une telle protection.Il faut en effet prendre en considération les frais engendrés par la perte d'autonomie, le coût éventuel d'une maison de retraite, des aides à domicile, voire simplement du maintien à domicile dans sa globalité.
• Quel type de dépendance est concerné ?
C'est un point à vérifier dans chaque contrat. Il est en effet essentiel de savoir ce qui va déclencher le jeu de la garantie. Souvent les assureurs prennent en compte les 4 actes de la vie quotidienne (s'alimenter, s'habiller, se laver, se déplacer) pour apprécier le degré de dépendance et décréter qu'elle est totale ou partielle. D'autres vont considérer également le coucher, la continence. À l'origine, la dépendance totale était seule envisagée dans les contrats. Mais pour capter une clientèle plus variée, certains assureurs ont enrichi leur palette de prestations. Ainsi, un contrat peut couvrir la dépendance totale (personne ayant besoin d'une assistance continue) mais aussi la dépendance partielle (aide pour les repas, le lever et le coucher…) auxquelles s'ajoutent parfois des prestations d'assistance (par exemple : aide pour l'équipement de l'habitat pour favoriser le maintien à domicile).Il importe encore une fois de bien évaluer les coûts et cotisations, et ce que peut apporter une éventuelle aide financière selon les besoins en cas de perte d'autonomie.
• Est-il intéressant de s'assurer pour un dépendance «partielle» ?
On peut avoir le réflexe de ne s'assurer que pour le plus «grave» mais ce n'est pas forcément intéressant. En effet, une perte d'autonomie partielle peut survenir à un âge peu avancé et devoir être supportée de très longues années car elle ne met pas forcément le pronostic vital en jeu. Une aide financière peut alors s'avérer bienvenue pour adapter son mode de vie, en fonction bien sûr de son revenu et peut-être d'autres aides comme l'APA.
• La garantie est-elle immédiate dès la signature ?
Non, car les contrats prévoient en général un délai de carence (ou délai d'attente) pendant lequel on n'a droit à aucune prestation. Ce délai en général d'un an peut parfois s'élever à trois ans. Ce délai est parfois supprimé lorsque la dépendance survient après un accident ou n'est pas consécutive à un problème psychique. Il faut donc se faire expliquer les clauses du contrat se rapportant à ce point pour s'éviter toute mauvaise surprise.
• Quelles sommes sont versées si la dépendance survient ?
Les contrats prévoient le versement d'une rente lorsque la dépendance survient. Son montant est fixé dès la souscription du contrat. Elle peut varier, par exemple, de 300 € à 3 500 € par mois. En cas de dépendance totale, cette rente sera versée à 100 %. En cas de dépendance partielle, seul un pourcentage de la rente sera alloué. Il existe aussi de options pour des prestations d'assistance (par exemple : garantie « équipement de domicile », télé-assistance…).Il faut donc calculer précisément quels seraient les frais engendrés par la perte d'autonomie, le coût d'une maison de retraite ou du maintien à domicile dans sa globalité. Sans oublier que d'ici à 10, 20 ou 30 ans ces coûts auront évolué.
À lire :
Source : Notre Temps

Comment progresse mon bonus ?

PRINCIPE : Le Bonus/malus progresse à chaque échéance principale.
Il est calculé au moyen d'un coefficient multiplicateur, le coefficient d'origine étant égal à 100 (Jeune conducteur). La prime de base est multipliée par ce coefficient de réduction/majoration.
UNE ANNEE SANS ACCIDENT = REDUCTION DE VOTRE BONUS
S'il n'y a pas de sinistre au cours des 12 mois le bonus de l'année précédente est multiplié par 0.95 (soit 5% de réduction) en usage normal, et par 0.93 (soit 7% de réduction) dans le cadre d'un usage « tournées » ou « tous déplacements »
Pour un véhicule particulier en USAGE NORMAL on obtient le tableau suivant:
1 année sans accident 100 x 0.95 = 0.95 de Bonus 2 années sans accident 0.95 x 0.95 = 0.90 de Bonus 3 années sans accident 0.90 x 0.95 = 0.85 de Bonus 4 années sans accident 0.85 x 0.95 = 0.80 de Bonus 5 années sans accident 0.80 x 0.95 = 0.76 de Bonus 6 années sans accident 0.76 x 0.95 = 0.72 de Bonus 7 années sans accident 0.72 x 0.95 = 0.68 de Bonus 8 années sans accident 0.68 x 0.95 = 0.64 de Bonus 9 années sans accident 0.64 x 0.95 = 0.60 de Bonus 10 années sans accident 0.60 x 0.95 = 0.57 de Bonus 11 années sans accident 0.57 x 0.95 = 0.54 de Bonus 12 années sans accident 0.54 x 0.95 = 0.51 de Bonus 13 années sans accident 0.51 x 0.95 = 0.48 PLAFONNE à 0.50 La réduction maximale est donc de 0.50, soit 50% de réduction sur la prime de référence. Cependant, notez qu'il faut 13 années de « bons et loyaux services » pour accéder à ce statut ! Lourde perspective pour les jeunes conducteurs qui débutent à 100 ;-)

Assurance : lettre type de résiliation à échéance

Nous vous proposons ci-après une lettre-type de demande de résiliation à l'échéance (le modèle standard) qu'il vous suffira d'éditer. EXPEDITEUR M, Mme ADRESSE: Numéro(s) de contrat(s): Catégorie(s): (auto, moto, habitation....) A ................., le Monsieur le Directeur, J'ai l'honneur de vous informer que par la présente lettre recommandée, j'entends faire cesser les effets du(des) contrat(s) d'assurances dont les références sont portées ci-dessus: A l'expiration de la période en cours, soit, sauf erreur, pour le ..............- Conformément aux conditions tant générales que particulières du(des) contrat(s)- En application des dispositions de l'Article L113-12 du Code des Assurances OU Dans un délai d'un mois, à dater de la présente notification en application des dispositions de l'Article L113-16 du Code des Assurances, pour le motif suivant : - Changement de domicile - Changement de régime matrimonial - Changement de situation matrimoniale - Changement de profession - Retraite professionnelle - Cessation d'activité professionnelle OU A dater de ce jour, conformément aux dispositions de l'Article L121-10 du Code des Assurances étant devenu propriétaire des biens assurés par : - Achat - Succession Par suite de l'augmentation de votre tarif, sauf avis contraire de notre part, cette résiliation prendra effet 30 jours après l'envoi de la présente lettre. Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l'expression de mes salutations distinguées. Signature Télécharger le modèle de lettre type (format .doc - 33 Ko) Source : Net Assurances

Banque : lettres types

Vous trouverez sous ces liens des lettres types classées par thème, selon le problème que vous rencontrez ou la démarche que vous souhaitez entreprendre. Utilisez toujours de préférence les modèles fournis par votre banque si vous en disposez. Veuillez sélectionner un thème pour accéder aux lettres-types. Pour chaque modèle de lettre, un ou plusieurs liens vous sont proposés pour bien situer le contexte de votre action. Compte : Déménagement et Transfert Compte à vue : Clôture Compte Joint Fonctionnement Ouverture Crédit : Crédit à la consommation Assurance Moyens de paiement : Carte Chèque Prélèvement Virement Produits d'épargne Source : Les clés de la Banque

Banque : Bon à savoir ...

Veillez à récupérer votre chéquier en agence

Lorsque votre nouveau chéquier est disponible en agence, ne tardez pas avant d'aller le chercher.
Que votre banque vous informe ou non de son arrivée, vous disposez généralement d'un délai limité de quelques semaines pour le récupérer. Une fois ce délai écoulé, la banque peut selon les modalités prévues par votre convention de compte, soit le détruire (éventuellement à vos frais) soit le conserver et vous demander des frais de conservation, soit enfin, vous l'expédier en recommandé à vos frais. Conserver des chéquiers à la disposition des clients, représente une charge administrative importante, compte tenu notamment des contraintes de sécurité. Par ailleurs leur capacité de stockage généralement limitée ne permet pas aux agences une conservation de longue durée des chéquiers non retirés par les clients. Le virement, le moyen le plus rapide et le plus sûr d’être payé Quelqu'un vous doit de l'argent et vous règle par chèque. Votre banque a besoin d'un délai pour encaisser ce chèque ou bien vous crédite immédiatement mais avec un date de valeur postérieure. Par ailleurs, si votre débiteur ne dispose pas de la provision suffisante sur son compte, le chèque vous sera rejeté "sans provision". Pour éviter tous ces désagréments, pour être sûr d'être payé, préférez le virement plus sûr et plus rapide. Il suffit que vous donniez un RIB à votre débiteur. Parfois, il pourra même réaliser l'opération sur le champ, par Internet. La gestion des comptes inactifs : comment opère la banque ?
Lorsqu'il n'y a pas eu de mouvement ou de réclamation sur un compte durant 30 ans, la banque doit verser à l'Etat l'argent de ces comptes inactifs, c'est la loi. Mais bien avant 30 ans, une banque réagira si elle n'enregistre plus aucun mouvement, et s'il n'y a pas eu demande de clôture par le titulaire de compte.
Deux choix s'offrent à elle :
- soit, si compte est inactif depuis 10 ans, elle peut, conformément à la loi du 3 janvier 1977, clôturer le compte et verser les sommes à la Caisse des dépôts, qui conservera les fonds pendant les 20 années restantes.
- soit elle peut choisir de conserver elle-même le compte inactif pendant cette période Dans l'un et l'autre cas, tant que les fonds n'ont pas été versés à l'Etat, le titulaire peut les réclamer à tout moment.

Mon assurance auto a augmenté, que faire ?

Pas de panique, vous pouvez peut-être trouver moins cher ailleurs, voire résilier votre contrat. Résilier oui, mais comment ? Avant tout, il faut regarder votre contrat. La faculté de résiliation en cas d'augmentation du montant de la prime doit être prévue dans votre contrat (voir le chapitre "Résiliation" de votre contrat d'assurance.) Dans la plupart des cas cette résiliation est possible uniquement si c'est la prime de référence qui augmente. Il faut donc bien distinguer la prime de référence (avant application de votre coefficient bonus-malus) et la prime nette (après application du bonus malus et des taxes). Ces montants figurent obligatoirement sur votre avis d'échéance. Parfois le contrat précise même le pourcentage d'augmentation minimal de la prime permettant de résilier. Et si l'augmentation résulte de l'application d'un malus ? La plupart des contrats ne rendent pas possible la résiliation si l'augmentation du montant de la prime est due uniquement à l'application d'un malus. Surtout, attention aux délais La faculté de résiliation est souvent limitée à 15 jours après que vous ayez eu connaissance de l'augmentation mais peut varier en fonction de l’assureur. La résiliation ne prend effet qu'un mois après que vous l'ayez signifiée par lettre recommandée. Par conséquent vous êtes tenu au paiement de la prime entre la date d'échéance et la date de résiliation effective de votre contrat. Cette prime au prorata doit être calculée sur les bases de votre prime précédente. Une astuce Afin de ne pas vous retrouvez sans assurance, vous pouvez, dès l'envoi de la lettre recommandée avec accusé de réception, souscrire un nouveau contrat d'assurance auto en précisant une prise d'effet du nouveau contrat d'assurance à compter de la date de résiliation effective de votre contrat. Source : Culturefemme.com

C'est le moment de changer d'assurance complémentaire santé

A l'approche de l'échéance annuelle du 1er janvier et du renouvellement d'un grand nombre de contrats santé, le marché bouillonne d'initiatives. Réductions, promotions, services annexes... L'objectif ? Rafler des clients à la concurrence. Profitez-en ! Ce petit jeu se répète chaque année. A la rentrée, offres promotionnelles et autres réductions se multiplient sur le marché de l'assurance complémentaire santé. L'objectif des organismes assureurs est clair : il s'agit d'attirer à eux les clients assurés ailleurs. Le marché de l'assurance santé est en effet étroit, "93% des Français étant équipés", selon Henri de Poyen, responsable marketing du marché santé aux AGF. Faire jouer la concurrence La période est propice. Si l'on exclut les contrats santé collectifs souscrits à l"intérieur de l'entreprise, 60% environ des contrats individuels sont actuellement couverts par des mutuelles santé, qui pour la plupart renouvellent leurs contrats le 1er janvier, tout comme d'autres assureurs ou institutions de prévoyance. Du coup, la course au client est...lancée ! Profitez-en, pour refaire un petit tour du marché et comparer les prix et les garanties. S'y prendre à l'avance pour résilier son contrat Mais attention, il faut respecter certaines conditions pour changer d'assureur et notamment le délai de préavis, généralement fixé à deux mois. Vérifiez bien votre contrat, ce délai varie de trois à un mois. Pour être valable, votre lettre de résiliation doit donc être envoyée à votre assureur avant que votre délai de préavis ne soit expiré. Sinon, vous repartez forcément pour une nouvelle année d'assurance. Certains contrats arrivent à échéance le 1er janvier, d'autres, comme chez AXA par exemple, le 1er avril. Plus de questionnaire de santé à remplir Les contrats du marché ne pratiquent généralement plus de sélection médicale _ les organismes qui la pratiquent payent une taxe sur le chiffre d'affaire concerné, ce qui est rédhibitoire. Aussi n'aurez vous plus de questionnaires de santé à remplir. Mais attention, on ne change pas aussi facilement de contrat à 30 ans qu'à 59 ans ! Plus vous avancez en âge, plus le tarif s'en ressent. "Pour une famille avec deux enfants, le tarif annuel est en moyenne de 1.100 euros pour les quatre personnes, alors qu'il avoisine les 800 euros pour une seule personne de plus de 55 ans", précise Henri de Poyen. Bien vérifier la durée du délai de "carence " ou "d'attente" Outre le tarif qui évolue avec l'âge, vérifiez, avant de sauter le pas, à quel moment prennent effectivement effet vos garanties chez votre nouvel assureur. Les contrats santé comportent très fréquemment des délais de carence ou d'attente, de trois mois à un an, selon les compagnies et les garanties concernées. Quand c'est le cas, les garanties prennent alors effet une fois le délai de carence expiré... Ne pas négliger de vérifier l'étendue des garanties On l'a vu, c'est le moment de faire jouer la concurrence. Vous trouverez ci-dessous les réductions accordées par un certain nombre d'assureurs. Mais pour choisir votre contrat au mieux, c'est le rapport qualité-prix qui compte. Outre le prix, vous devez donc vous pencher sur l'étendue des garanties couvertes. Jusqu'à 2 mois d'assurance gratuits chez de nombreux assureurs Deux mois d'assurance gratuit aux AGF sur tous les contrats de la gamme souscrits avant le 31 décembre (soit 16% de réduction annuelle), un mois de cotisation offert à la Macif (jusqu'au 31 octobre) et une prise en charge immédiate de tous les frais (sans délai d'attente), y compris pour les soins dentaires et optiques, etc. Deux mois gratuits également chez MAAF pour les souscriptions recueillies avant le 31 octobre. Idem chez MMA, les deux mois gratuits valant sur toutes les offres classiques et seniors, mais par sur la formule "Double Effet". Chez Groupama vous obtiendrez 5% de réduction sur la formule phare "Groupama Santé Active" si vous ouvrez simultanément un compte bancaire rémunéré de Groupama Banque. Enfin, la GMF, partenaire du 15 de France de Rugby, profite de la Coupe du Monde pour offrir 15% de réduction sur ces contrats santé (et sur tous les autres d'ailleurs) pendant toute la durée de la compétition. Un check up vidéo gratuit AXA de son côté cherche à attirer les jeunes : les 18-25 profitent d'une offre spéciale qui leur accorde non seulement 20% de réduction sur le tarif annuel, mais aussi 2 mois gratuits et cela pour toute souscription avant le 31 décembre. Par ailleurs, l'assureur offre à tous les internautes la possibilité de faire un check-up vidéo de santé gratuit sur www.axasante.fr. D'autres offres promotionnelles devraient venir garnir cette vitrine dans les prochains jours. Source : Les Echos