Renegocier votre prêt immobilier

Des questions sur la renégociation, les tarifs et la concurrence, les taux ? Nos réponses...

LA RENEGOCIATION DE PRET IMMOBILIER EST-ELLE VALABLE POUR UN CREDIT RECENT ?
 
Oui, on considère qu’un prêt immobilier renégociable doit être jeune, c’est-à-dire qu’il ne doit pas avoir dépassé le premier tiers de su durée, voire une petite moitié de cette même durée.
 
La raison essentielle est que pendant les premières années, les mensualités remboursées sont largement consacrées aux intérêts, c’est donc au début du prêt immobilier que le gain est le plus important.
 
UNE BANQUE ACCEPTE-T’ELLE DE RENEGOCIER LE PRET IMMOBILIER DE TOUS SES CLIENTS ?
 
Il est impossible de répondre par oui ou par non, chaque cas étant différent et chaque organisme prêteur ayant une politique différente en matière de renégociation.
Sachez toutefois qu’avant d’accepter ou de refuser une renégociation un organisme bancaire va examiner le dossier de son client et passer au crible sa situation financière.
Un client présentant de bons revenus et une absence d’incidents de paiement, ayant en outre des placements aura toutes les chances de voir son prêt immobilierrenégocié par son organisme prêteur dans les meilleures conditions. A l’inverse un client sans placement, avec des incidents de paiement aura plus de chance de se voir refuser sa demande.
 
UN COURTIER OBTIENT-T-IL DES TAUX PLUS COMPETITIFS QU’UN PARTCULIER ?
 
Un courtier qui pratique la renégociation de prêts immobiliers propose bien souvent des taux très compétitifs, grâce à un volume important de crédits apporté à ses partenaires bancaires. 
C’est pourquoi il arrive à négocier de bonnes conditions auprès des banques, plus intéressantes que celles obtenues par un particulier qui ne dispose pas des mêmes connaissances et des mêmes partenaires.
De plus les banques sont prêtes à consentir un effort pour des clients qui leur sont adressés directement par les courtiers.
 
FAUT-IL FAIRE JOUER LA CONCURRENCE POUR RENEGOCIER UN PRET IMMOBILIER ?
 
Il est presque indispensable de faire jouer la concurrence dans la mesure où le gain obtenu avec le nouveau prêt immobilier dépend du taux bien sûr, mais également du montant des frais qui doit être le plus faible possible.
La négociation des frais de dossier, de garantie ou de remboursement anticipé est indispensable à la fois avec son organisme prêteur initial et également avec des organismes concurrents.
L’intérêt financier est le seul but recherché par l’emprunteur qui renégocie son prêt immobilier

Source : credit-ssima.fr

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Ouvrir un compte bancaire à son enfant ?

Si l’idée d’ouvrir un compte bancaire à son enfant peut paraître intéressante, il est important d’accompagner cet événement de quelques précisions pratiques.
L’ouverture d’un compte bancaire est l’un des moyens de responsabiliser vos enfants. Cela permet également aux membres de la famille d’y déposer des chèques lors des anniversaires, des fêtes, par exemple.
En fonction de l’âge de votre enfant, plusieurs possibilités s’offrent à vous. Il faut savoir que seuls les parents sont autorisés à ouvrir un compte en banque pour un mineur. Ce n’est qu’à 18 ans que votre enfant pourra de manière totalement autonome disposer d’un compte à part entière. Jusque-là, il faudra lui expliquer le fonctionnement de son compte en lui précisant ce qu’il a le droit de faire ou de ne pas faire. Pourquoi ne pas faire le déplacement à la banque avec lui….. ?

Avant 12 ans

Il existe le compte d’épargne. Il est rémunéré par votre banque selon un taux qu’elle fixe elle-même. Vous pouvez obtenir le plus souvent un taux net autour de 3 %. L’argent placé est plafonné à 1 600 euros. Cet argent est disponible à tout moment. Vous pouvez également placer votre argent au nom de votre enfant en épargne logement (PEL, CEL), en assurance vie….ce qui lui permettra de disposer d’un capital à sa majorité. Mais aussi, vous pouvez souscrire un Livret A (dans toutes les banques) un Livret ou Bleu (Crédit Mutuel) rémunéré à 1,25 % net d’impôt (depuis le 1er août 2009) dont le plafond est fixé à 15 300 euros. La rémunération est garantie par l’Etat.

A 12 ans

Il existe le livret jeune. Il s’agit d’un livret d’épargne dont les banques fixent librement le taux d’intérêt (au moins égal au livret A). La plupart des banques offrent une rémunération de 1,25 % net au 1er aout 2009. Ce livret est plafonné à 1 600 euros. Le livret jeune est associé le plus souvent à une carte de retrait. Seul un compte créditeur permet d’effectuer des retraits. Certaines banques permettent aux parents de fixer le montant maximal des retraits par période de temps (toutes les semaines ou tous les mois). Ce livret est disponible jusqu’aux 25 ans de l’enfant.

A partir de 16 ans

Il est possible d’ouvrir un compte courant avec un chéquier et une carte de paiement. Les parents doivent néanmoins donner leur accord et se porter caution. En cas d’incidents bancaires (débit substantiel, chèque sans provision,…), l’établissement financier se tourne vers les parents. Afin de limiter ce type de désagrément, certaines banques proposent des cartes de paiement avec autorisation préalable. Les retraits et les paiements ne sont alors possibles que dans la limite de la somme disponible sur le compte.

Dès 16 ans, un jeune peut ouvrir un livret A seul (sans ses parents) et c’est l’unique exception.

Votre enfant est majeur

Il lui est possible d’ouvrir un compte bancaire, de disposer de moyens de paiement, et de contracter un crédit sans votre autorisation. D’une manière générale, les banques adaptent leurs produits financiers à cette tranche d’âge. En cas de demande particulière (prêt important,…), les banques demandent le plus souvent que les parents se portent garants.

Pour en savoir plus :
Consultez notre site et plus particulièrement le profil « jeunes », la « boîte à outils » et le B.a.Ba . Vous pouvez également lire le livre : Vos enfants et l’argent écrit en collaboration avec les éditions Autrement.
Créé le 20 octobre 2008 - Dernière mise à jour le 27 novembre 2009

Source : lafinancepourtous.com

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L'éco-prêt à taux zéro

Dans le cadre du Grenelle de l'environnement, il a été instauré un éco prêt à taux zéro (loi de finances pour 2009 -art. 99) destiné à financer des travaux d'amélioration de la performance énergétique des logements achevés avant le 1er janvier 1990, occupés à titre de résidence principale.

Comme pour le prêt à taux zéro destiné à l'acquisition de la résidence principale, ce prêt à 0 % aidé par l'Etat est accordé par les établissements de crédit (art. 244 quater U CGI) qui ont signé une convention avec l'Etat et dès qu'ils auront mis en place ce dispositif. L'Eco-PTZ est cependant limité dans le temps : il prendra fin le 31 décembre 2013.

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Les banques françaises assurent que les petits épargnants ne sont pas exposés au risque grec

Sur les marchés, la crise grecque a parfois des allures de "déjà-vu". Comme en 2008, lors de l'épisode des "subprimes", ces crédits hypothécaires américains à haut risque venus se nicher dans les comptes des banques, les établissements financiers sont aujourd'hui invités à faire la lumière sur leur exposition à la dette grecque, désormais considérée comme un crédit pourri par l'agence de notation Standard & Poor's.
La plupart des banques françaises ont livré au compte-gouttes le montant des dettes d'Etat grecques qu'elles détiennent. Bilan ? 5 milliards d'euros pour BNP Paribas, 3 milliards pour la Société générale, 1,4 milliard pour BPCE (dont 160 millions pour sa filiale Natixis) et 850 millions pour le Crédit agricole. Soit près de 10 milliards d'euros au total.
"Il y a des trous", constate néanmoins un analyste. Ces chiffres sont bien éloignés de ceux qui circulent sur le marché faisant état d'une exposition totale des banques françaises de l'ordre de 16 milliards d'euros à fin décembre 2009. Une différence qui, selon les autorités bancaires, s'expliquerait en partie par les ventes effectuées depuis le début de l'année. Voyant la crise s'amplifier, certains établissements se sont délestés d'une partie de leurs créances souveraines.
Il reste que la confusion règne. Les statitiques livrées par la Banque des règlements internationaux (BRI), en mêlant dettes publiques et dettes privées, débouchent sur une exposition globale de 53 milliards d'euros pour les banques françaises au 31 décembre 2009, ce qui les placent en tête du palmarès des pays, devant les établissements allemands (40-45 milliards d'euros).
Stress
"On donne des montants globaux qui mélangent tout et n'importe quoi ! Le risque de la dette souveraine n'a rien à voir avec celui des créances privées", dit un analyste du secteur bancaire. Certes, poursuit-il, "les banques sont au coeur de cette crise, mais donner des chiffres aussi hétérogènes contribuent à rajouter du stress sur le marché".
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Gan eurocourtage : Première application "business" assurances sur smartphone

C'est la première du genre : une application sur Iphone ou Blackberry qui donne accès aux remboursements des prestations des contrats santé pour les affiliés !

Qu’elle fonctionne sur l'un ou l'autre des "smartphones", l’application initiée par Gan Eurocourtage est de nature résidente. Il ne s’agit pas d’une consultation web améliorée  qui exigerait un navigateur Internet, mais d’une nouvelle application autonome qui gère tout toute seule.Une fois installée sur le smartphone, elle se comporte comme un logiciel et permet à l’utilisateur d’avoir un accès direct au contenu d’Assurespace.com
Sur ce front, Gan Eurocourtage est seul. L’ouverture d’Assurespace.com aux smartphones illustre en effet la volonté clairement affichée - et démontrée - de Gan Eurocourtage d’offrir à ses partenaires (courtiers, entreprises et affiliés) une véritable valeur ajoutée en termes de services associés à l’offre produits.


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Epargne : petits épargnants pas épargnés

Le taux du livret A, bloqué à 1,25 % malgré l’inflation, a désormais un rendement négatif.
Le livret A aura un rendement négatif au moins jusqu’en août de cette année. Sur préconisation du gouverneur de la Banque de France, Christine Lagarde, ministre de l’Économie, s’apprête à prendre la décision de maintenir le taux du livret A à 1,25 % malgré la reprise de l’inflation. Le taux du livret A est fixé par une formule de calcul qui prend principalement en compte l’indice des prix hors tabac. Au 1er janvier et au 1er août, ce taux doit être revu en tenant compte de cette formule. Mais en fonction d’une évolution importante, ils peuvent être révisés au 1er novembre et au 1er mai. C’est ce qui aurait dû se produire au 1er mai  : l’inflation annuelle est passée, depuis la dernière modification du taux, de – 0,75 % en juillet 2009 à + 1,5 % en avril 2010. Cela aurait dû conduire mécaniquement à une revalorisation du taux à 1,75 %. Le livret A rapporte désormais moins que l’inflation, ce qui n’est arrivé que deux fois dans notre pays, à l’été 2008 et à l’automne 2005. Le gouvernement mise sur un ralentissement de l’inflation lui permettant un moindre ajustement au 1er août. On parle de 1,50 %. Mais ce niveau resterait très bas. Avant d’être fixé à 1,75 % en mai 2009 puis à 1,25 % en août, le taux n’avait jamais été inférieur à 2 % en 192 ans d’histoire.
O. M. Source : http://www.humanite.fr

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